Modèle Harrod-Domar, modèle néoclassique, travaux de Reynolds, Schultz, Becker, Amartya Sen, Samuelson, Solow, Robinson, Kaldor, Pasinetti
Les classiques mettent rapidement en relation l'accumulation de capital et la croissance économique.
Leur conception combine la vision de la croissance comme processus transitoire, et une autorégulation
par le marché des perturbations conjoncturels.
Adam Smith montre que la division du travail permet des gains de productivité, ce qui ouvrait le cercle
vertueux de la croissance.
Ricardo explique qu'il y a une tendance au plafonnement de la croissance, puisque l'économie tend vers
l'état stationnaire1.
[...] Ricardo explique qu'il y a une tendance au plafonnement de la croissance, puisque l'économie tend vers l'état stationnaire1. On peut ralentir ce processus avec le libre échange ou l'usage de machine Si le marché est régulateur c'est grâce à la loi des populations de Malthus (s'il y a trop de main d'œuvre, la population va baisser), la loi des débouchés de J. B. Say (l'offre crée sa propre demande) et la théorie quantitative de la monnaie (le niveau général des prix dépend de la quantité de monnaie, qui dépend de la quantité d'or). [...]
[...] Le capital public : Au cœur de l'analyse de Barro Il correspond aux infrastructures de transport et de communication. C'est une forme du capital physique qui résulte des investissements opérés par l'Etat et les collectivités locales. Il permet de lutter contre les imperfections du marché : le manque de rentabilité d'une innovation qui va être récupérée par une entreprise concurrente entraine un trop faible investissement. L'Etat doit donc créer des structures institutionnelles qui soutiennent la rentabilité des investissements privés et donc de la croissance. [...]
[...] Les coefficients de production sont fixes. L'investissement n'est plus seulement générateur de revenu, mais il est susceptible de créer de nouvelles capacités de production. La croissance résulte donc du processus d'ajustement des capacités de production à la demande. b. La construction du modèle : Le taux de croissance effectif : C'est le taux de croissance effectivement observé ; g = s/v (avec s la propension marginale à épargner et v un coefficient de capital constant i.e. le rapport entre le capital disponible et la production qu'il permet de mettre en œuvre). [...]
[...] La critique concerne la possibilité de mesurer le capital. D'après eux, puisque le capital est composé de biens hétérogènes, on ne peut pas mesurer sa productivité. De ce fait aucune analyse de la répartition des revenus ne peut reposer sur une analyse en termes de productivité marginale des facteurs, mais elle résulte de rapports de forces, et e procédures institutionnelles. La nouvelle théorie de la croissance : C'est un courant de pensée qui nait aux USA au milieu des années 1980 avec deux articles de Romer et Lucas (qui viennent tous deux de l'école de Chicago). [...]
[...] Ainsi l'investissement a un double effet : il agit sur la croissance et sur le progrès technique. Le capital technologique : Les investissements ont un double effet, ils sont à l'origine de biens et services nouveaux, et servent de point de départ à des innovations futures. C'est l'accumulation des connaissances nouvelles et anciennes qui font progresser la technologie et donc la productivité. Ainsi si un pays est loin de la frontière technologique, il peut assurer sa croissance grâce aux technologies disponibles dans les pays proche de la frontière (ex : Europe occidentale par rapport aux USA après la wwii). [...]
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