Le libre-échange chez les classiques et chez Karl Marx. Dissertation d'économie
En quoi exactement le commerce international consiste-t-il à une mesure préalablement libérale prise pour le but de l'augmentation et pour la garantie de la richesse de la nation? La réponse sur cette question se trouve dans l'analyse proposée par les classiques et par Marx
1) La théorie d'Adam Smith : Libre-échanges et Avantage absolus
2) La theorie de David Ricardo : Avantages comparatifs
3) La conception Marxiste du commerce international
[...] La conception Marxiste du commerce international Marx est favorable au libre-échange en commerce international pour des raisons totalement différents que les classiques. Selon lui libre-échange est baser sur la libre concurrence, qui fait naitre des phénomènes destructrice déjà a l'intérieure de pays et qui reproduira sur l'échelle plus gigantesque c'est-a-dire dans la commerce international. Marx critique les analyses des classiques sur le libre-échange et notamment la théorie de la division du travail international et des avantages absolus. Marx rejette les conclusions optimistes de Ricardo quant aux conséquences positives des échanges entre nations, Il dit que le commerce international serait un processus d'exploitation des pays pauvres par les pays riches, pour l'illustration on nous pressante l'exemple de la production du café et du sucre en inde occidental : Deux siècles auparavant, la nature, qui ne se mêle guère du commerce, n'y avait mis ni café, ni canne à sucre. [...]
[...] En un mot, le système de la liberté commerciale hâte la révolution sociale. Est c'est pour cette raison que Karl Marx est favorable aux Libre-échanges dans la commerce international. La conclusion En revanche on comprend que le libre-échange est un sujet de débat et des contradictions pas seulement entre les différentes pansées économiques comme celle des classiques et celle de Karl Marx, mais aussi entre les auteurs de même courent économique, comme Smith et Ricardo, mais malgré ces désaccords ils sont tous favorable au libre-échange dans le commerce international car c'est un processus positif pour les économies nationaux. [...]
[...] La réponse sur cette question se trouve dans le analyse proposer par les classiques et par Marx, la comprenions des réflexions des auteurs et l'essentiel pour répondre a cette question, dans l'ordre chronologique premièrement on va aborder la libre- échange chez Smith en passent par les avantages absolus, deuxièmement, les idées de Ricardo vont nous donner une nouvel ouverture sur ces notions et finalement la point de vue de Karl Marx va nous donner l'image complet qui permettra de donner la réponse et conclure la démarche. La théorie d'Adam Smith : Libre-échanges et Avantage absolus Selon Smith l'échange provient des différences absolues de productivité : chaque pays a intérêt à se spécialiser dans le bien pour lequel il dispose d'un avantage absolu sur son partenaire. [...]
[...] Le commerce international stimule également la division du travail : le commerce élargit les débouchés pour chaque type de production, permettant ainsi de pousser plus loin la division du travail. Cependant, ca supposent que chaque pays se spécialise en développant les activité où il dispose d'un avantage absolu, celles où le coût par unité produite est inférieur à ce qu'il est à l'étranger, et qu'il abandonne celles où les coûts sont plus élevés. Cette notion s'appel l'avantage absolu, tout simplement parce qu'elle fonde la spécialisation sur la comparaison des niveaux absolus des coûts de production. [...]
[...] Le libre-échange chez les classiques et chez Karl Marx Tout commence par le commerce international, l'ensemble des activités commerciales requises pour produire, expédier et vendre des biens et des services sur la scène internationale, à partir de la production à la consommation ; Ce type de commerce existe depuis des siècles (route de la soie), mais il connaît un essor récent du fait de la mondialisation, dont il est une composante majeure. Le libre-échange est un système de commerce international reposant sur l'absence de barrières douanières et non douanières à la circulation des biens et des services. Au sens strict, la notion ne s'étend pas aux mouvements de travailleurs ou de capitaux. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture