Crises, Paul Krugman, crises financières, crises sociales, économiste, devises, capitaux
Krugman commence par parler de la crise téquila et les raisons de son émergence. Pour assurer une stabilité de leur monnaie et une crédibilité, le Mexique et l'Argentine ont mis en place un système de caisse d'émissions pour rentrer dans un système de change fixe. Ils ont tous les deux attiré les capitaux et investisseurs étrangers. Peu de temps après, les réserves en devises fondent et le Mexique dévalue sa monnaie ce qui provoque une hausse des taux d'intérêt et par conséquent une augmentation de l'inflation et un déficit public. Le Mexique en grande nécessité de sauvetage fut aidé par l'accord Brady.
[...] Il a décidé de remettre son livre à jour, car il n'a pas pu s'empêcher de voir, une fois encore, que les crises ont les mêmes caractéristiques ( crise des subprimes vient aussi de la panique qui a surgie En clair pour Krugman, il y a une forte similitude entre ces crises économiques comme la panique et il dénonce l'utilisation de mauvaises politiques monétaires en cas de crise. En effet il est essentiel de recourir à la théorie keynésienne si une économie veut survivre aux récessions. Face aux banques de l'ombre, il pense que la régulation du système bancaire est nécessaire. Il est libéral donc il est pour la mondialisation et le libre échange, mais il explique qu'il y a des limites à ne pas franchir sinon l'écononomie pourrait marcher selon lui à l'envers . [...]
[...] Il a pour but de supprimer tout ce qui est jugé difficile à la compréhension, alors que la parabole du Capitol n'est pas forcément évidente. De plus, si on n'a pas compris cette parabole, il sera alors difficile de comprendre l'intégralité du livre, car la coopérative du Capitol Hill est répétée plusieurs fois dans son ouvrage pour simplifier des notions complexes. En effet, pour quelqu'un avec aucune notion d'économie ou de finance, je pense que prendre l'exemple de la coopérative pour expliquer les taux d'intérêt où la spéculation n'est pas suffisante. [...]
[...] C'est un auteur mondialement connu et il reçut la médaille de John Bates Clark pour les économistes de moins de 40 ans qui ont contribué à la science économique. En 2008 il s'est vu recevoir le prix Nobel pour ses travaux sur le commerce international et l'économie géographique. Il est connu pour ses positions polémiques et libérales, il se veut favorable au libre-échange. Krugman traite l'aspect humain au détriment de développement théorique c'est pourquoi dans son ouvrage pourquoi les crises reviennent toujours il préfère laisser tomber les théories compliquées pour expliquer ses idées. [...]
[...] Ils ont tous les deux attiré les capitaux et investisseurs étrangers. Peu de temps après, les réserves en devises fondent et le Mexique dévalue sa monnaie ce qui provoque une hausse des taux d'intérêt et par conséquent une augmentation de l'inflation et un déficit public. Le Mexique en grande nécessité de sauvetage fut aidé par l'accord Brady. La crise se propage en Argentine et dans les autres pays de l'Amérique du Sud à cause de «panique autoréalisatrice»( la panique donne de la panique). [...]
[...] Pour ma part, ses critiques sont quelque peu inappropriées et enfantines, Krugman nous renvoie l'image d'un petit garçon maltraité qui prend sa revanche en réglant ses comptes devant tous les lecteurs Krugman ne prend pas en compte directement les théories des autres économistes pour expliquer en quoi les crises reviennent systématiquement dans le capitalisme (exemple le triangle d'incompatibilité de Mundel est utilisé, mais Krugman ne dit pas qu'il l'utilise en citant la référence). Il critique le fait qu'on répète constamment les mêmes schémas d'une crise à une autre au lieu de la prévenir et l'éviter. Un livre bien écrit est un livre où selon moi, il y a un plusieurs groupes d'idées et de théories qui s'enchainent de manière logique pour donner une seule et unique explication, or ici, on a que les idées de Krugman. [...]
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