Exposé s'interrogeant sur le fonctionnement du système low cost. Les compagnies aériennes low cost étrangères connaissent un franc succès, dans quelle mesure ce concept peut-il être adapté aux entreprises françaises du secteur aérien ?
[...] De même, il est nécessaire d'avoir des personnes de catégorie socio professionnelle différente et d'âge divers. Dans un premier temps, nous aimerions interroger la clientèle actuelle des compagnies à bas coûts. Nous allons donc nous intéresser à leurs motivations ; c'est-à-dire les forces qui poussent ces personnes à utiliser ce type de transport plus qu'un autre. Nous espérons également qu'une majorité de ces voyageurs ont déjà utilisé des compagnies traditionnelles telles qu'Air France. Il serait donc intéressant de connaître les avis de ces personnes. [...]
[...] Enfin, beaucoup de compagnies aériennes low cost augmentent le nombre de sièges dans leurs appareils. On passe alors d'une capacité de cent vingt sièges à plus de cent quarante sièges. L'espace est donc réduit entre les rangées de siège. Ceci est loin d'être un point supplémentaire pour la qualité du produit. Les consommateurs que nous avons pu interroger nous ont avoué se plaindre souvent du manque d'espace pour s'installer confortablement, que ce soit dans le train ou dans l'avion. L'accentuation de ce phénomène par les compagnies à bas coûts détériore le niveau de satisfaction du client. [...]
[...] Cette partie des Etats-Unis représente à elle seule une superficie équivalente à la France, la Suisse, la Hollande et la Belgique. (Les trajets en voiture s'avèrent être longs et surtout très coûteux.) En ce qui concerne le train, celui-ci est encore très peu utilisé entre Houston et Dallas. Quant à l'avion, il est jugé comme trop luxueux et surtout trop coûteux. La seule alternative restante s'avère être les compagnies à bas coûts et par conséquence à bas prix. Aujourd'hui, Southwest emploi trente deux mille personnes avec trois cent soixante six boeings et plus de deux mille huit cents vols qui sont organisés par jour. [...]
[...] La majorité d'entre eux a rajouté que les compagnies aériennes à bas coûts exploitent complètement leur personnel de vol. A propos des services et des taxes aéroportuaires Les services aéroportuaires sont généralement quasi nuls voire même totalement absent des aéroports secondaires. On appelle aéroports secondaires, les plateformes réservées exclusivement aux compagnies aériennes peu connues ou peu développées. Ce sont des aéroports situés dans des zones éloignées des centres villes et qui sont difficiles d'accès. Ces aéroports accueillent pour la plupart d'entre eux des compagnies à bas coûts : Ryanair, Easy Jet, Flybe Toutes ces compagnies ont pour politique de sous-traiter la majeure partie du 71 Tableau voyage du consommateur. [...]
[...] Nous pouvons qualifier ces deux personnes comme professionnels du low cost Lors de la rencontre avec ces derniers, nous leur avons exposé tour à tour notre sujet, à notre problématique et à nos hypothèses. A l'annonce de ceux-ci, nos deux interlocuteurs nous ont exprimé leurs idées et leurs opinions à propos du low cost. Ils ont donc indirectement répondu à nos questions sans que nous ayons à les mentionner. Dans un premier temps, ces professionnels ont abordé avec nous les différents freins à la création d'une compagnie aérienne low cost française. [...]
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