La télécommunication concerne toutes les transmissions, émissions et réceptions à distance d'informations et de renseignements quels qu'ils soient, et ceci, grâce à des moyens électroniques.
Il existe différentes formes de télécommunications. Nous traiterons dans ce rapport de la téléphonie fixe.
En 1854, l'inventeur français Charles Bourseul fut le premier à imaginer un système de transmission électrique de la parole. Ce n'est qu'en 1877, que le premier téléphone apparaît, créé par l'américain Alexander Graham Bell.
Le réseau de téléphonie fixe constitue un monopole naturel fort. Durant des décennies, l'Etat a pris la charge de ce réseau ; ce dernier s'est développé plus ou moins vite selon la volonté politique du moment.
[...] Les particuliers y ont accès en achetant un abonnement. Le coût de celui-ci change selon les statuts (particuliers, entreprise, etc.) et le prix des communications varient en fonction du lieu appelé. De nos jours, et principalement dû à l'importance de la technologie, cette forme de communication concerne la quasi-totalité des foyers et établissements de France. Les trois strates : L'infrastructure de ce secteur est composée principalement de moyens de transmissions, on y trouve les boucles locales, les câbles, les satellites, la fibre optique. [...]
[...] Le terme Ministère des postes, du télégraphe et de la téléphonie (PTT) apparaît à la fin du XIXème siècle. Mais toutes les tentatives susceptibles de faire évoluer le secteur ont manqué de sérieux et n'ont donc pas pu aboutir : une loi de finances est créée en 1923, ayant pour but l'émancipation des PTT par rapport à l'État, puis un Conseil Supérieur des PTT, mais ces deux tentatives échouent. Il faut attendre les années 1970 pour que l'État prenne conscience de l'enjeu que représente la téléphonie. [...]
[...] - La rentabilité économique est elle aussi en baisse. - L'endettement du groupe a été considérablement diminué depuis quelques années. Ainsi la dette était de millions d'euros en 2004 et est passée à millions en 2009. Pourtant à son ouverture et les années qui ont suivi, le groupe était en grande difficulté mais s'est correctement redressé. - En revanche, sa rentabilité est à la baisse : celle-ci était de 22,36 milliers d'euros en 2005 et a chuté à 12,05 en 2009. [...]
[...] La fabrication du matériel n'est pas prise en compte. L'intégration verticale doit éviter les goulots d'étranglement qui pourraient avoir lieu si un fournisseur est en retard par exemple. Il s'agit de satisfaire le plus rapidement possible la demande. Dans le cas de la téléphonie fixe, l'État et les fournisseurs ont su coordonner leurs actions pour éviter les retards et les erreurs de fournitures. La tarification La tarification proposée par le monopole public était binaire, un abonnement et des tarifs différenciés allant vers une tarification marginale. [...]
[...] Le 1er janvier 1997, France Télécom passe en statut de société anonyme, puis ouvre son capital. En parallèle de tout cela, une décentralisation de l'entreprise est organisée à partir de 1993 : des délégations de décisions des directions régionales vers les unités opérationnelles sont faites. Par la suite, ces délégations vont être renforcées pour une meilleure coordination et un meilleur contrôle des activités. La privatisation de France Télécom s'est fait grâce à la combinaison de l'abandon du pourvoir de l'État et de l'ouverture à la concurrence. [...]
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