Depuis le début de la révolution industrielle, il y a près de 250 ans, l'accroissement des concentrations des gaz à effet de serre a été considérable. Les concentrations de dioxyde de carbone, par exemple, ont augmenté de plus de 25%, passant de 280 à 355 parties par million en volume. Il existe des preuves irréfutables établissant un rapport entre au moins une partie de cette augmentation et les activités humaines. De fait, environ 60% de l'augmentation des concentrations s'est produite depuis 1958, reflétant la croissance rapide, sous l'impulsion des combustibles fossiles, de l'économie mondiale d'après-guerre. Seulement la moitié environ des émissions de dioxyde de carbone provenant de ces sources qui est le résultat de l'activité humaine a été retenu dans l'atmosphère. Le reste a été absorbé par les océans et les forêts. A partir de cela, nous pouvons nous demander :
[...] Les pays participant à ce protocole sont pour la plupart des pays en voie de développement et les pays développés. Leur principal objectif : diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre. C'est ainsi qu'ils ont accepté de diminuer leurs émissions pour les années à venir (2008 à 2012) de - Les pays les plus riches et ayant une industrialisation plus développée vont réduire un plus grand pourcentage. C'est le cas du Japon qui ira jusqu'à les Etats-Unis jusqu'à ou bien l'Union Européenne jusqu'à 8%. [...]
[...] Son point le plus avantageux est le fait que l'énergie qu'elle utilise est inépuisable d'où le terme renouvelable. Le rotor a pour rôle d'augmenter la vitesse de rotation des pâles afin de faire fonctionner le multiplicateur qui ensuite comme pour une centrale hydraulique déclenchera un générateur d'électricité. C'est ainsi que de plus en plus de parcs éoliens sont installés surtout en Europe malgré leur coût. - énergie solaire : On parle plutôt de panneaux solaires. Il en existe deux types : thermiques et photovoltaïques. [...]
[...] - méthane CH4 : sa durée de vie tourne autour de quatorze ans. Ces émissions peuvent être d'origine naturelle ou bien humaine. En effet, les rizières inondées, les décharges publiques ou encore les prairies émettent du méthane. Ces émissions sont naturelles lorsqu'une plante ou un animal se décompose par fermentation par exemple. - oxyde d'azote NO2 : sa quantité dans l'atmosphère est moindre que les précédents mais reste de loin négligeable. Ceux sont les hommes qui en émettent dans les activités industrielles ainsi que dans l'agriculture avec la consommation d'engrais. [...]
[...] Les conséquences sur l'être vivant. La population est aussi concernée par ce réchauffement planétaire. En effet, de nombreuses espèces sont en voie de disparition, surtout les insectes qui sont très sensibles à la chaleur ou encore les ours polaires, qui figurent eux aussi parmi les espèces menacées par le réchauffement climatique. La santé des gens est aussi en danger. Effectivement, des maladies se rependent de plus en plus souvent dû aux gaz à effet de serre. Parmi elles, on cite les cancers (surtout de la peau et du poumon), les maladies cardio- vasculaires, les maladies respiratoires, l'asthme L'eau et les aliments peuvent également être contaminés entraînant ainsi des diarrhées ou bien des intoxications. [...]
[...] Environ 30% des gaz à effet de serre sont à l'origine de la déforestation, faisant donc d'elle une cause majeure de l'augmentation des températures sur notre planète. Déforestation en argentine Acheminement du pétrole Pollution : SMOG a New-York En France, selon le groupe Facteur les émissions de gaz à effet de serre proviennent des transports pour suivis de l'industrie (22 de l'agriculture (19 des bâtiments et habitations (19 de la production et de la transformation de l'énergie (13 et du traitement des déchets Depuis 1990, les émissions ont augmenté de plus de pour les transports et les bâtiments. [...]
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