Le rayonnement cosmique est le bombardement de notre planète par des rayons provenant des astres. Ceux-ci sont en partie déviés par la couche d'ozone. Certains de ceux qui réussissent à la traverser restent en surface, c'est-à-dire dans l'air que nous respirons (le radon, un gaz radioactif est présent en permanence, et en petite quantité, dans nos poumons), mais aussi dans notre nourriture et, pour simplifier, dans notre environnement. L'autre partie de ces rayons est absorbée par le sol et les roches qui le composent (il est déconseillé de rester trop près et trop longtemps d'un bloc de granit !).
La radioactivité artificielle, c'est-à-dire due à une activité humaine, est divisée en deux grandes catégories : le nucléaire civil et le nucléaire militaire (...)
[...] Mais les inspections ont été empêchées, et la Corée du nord s'est retirée du TNP et de l'AIEA en 2002, après avoir expulsé de son territoire les inspecteurs internationaux. En 2003, elle proposait de geler son programme d'armement dès que les États-Unis reprendraient leurs livraisons de pétrole, lèveraient leur embargo économique et rayeraient la Corée du Nord de leur liste des États qui commanditent le terrorisme. Les Etats Unis ont refusé. En 2005, elle annonçait posséder l'arme nucléaire. Ces pays favorisent la prolifération. En effet, la Corée a vendu des missiles au Pakistanais et aux Iraniens. [...]
[...] L'Homme peut être contaminé soit par inhalation, soit par ingestion, soit par contamination de la peau. Compte tenu de l'importance de la pollution nucléaire, il est facile d'imaginer que l'on puisse inhaler des poussières radioactives. Si des particules de gaz radioactif se désintègrent alors qu'elles sont dans les poumons, elles se transforment en élément lourd qui se fixe à l'intérieur. Elles poursuivent ainsi leur vie radioactive et leurs émissions nocives jusqu'à la fin de leur vie (ou de celle de leur hôte). La contamination par l'alimentation se retrouve partout. [...]
[...] Ce "point zéro" qui mesure la radioactivité dans les milieux aquatique et terrestre et évalue la radioactivité artificielle éventuellement présente avant la mise en service de l'installation, sert de référence permettant de mesurer des variations éventuelles de la radioactivité de l'environnement pendant la période d'exploitation. Une centrale nucléaire émet des effluents liquides et gazeux. Après avoir été triés (niveau de radioactivité, composition chimique), ces éléments sont stockés, traités puis rejetés sous forme liquide ou gazeuse. L'impact d'une installation nucléaire sur l'environnement est dû principalement à ses rejets radioactifs, thermiques et chimiques. [...]
[...] Sa vitesse peut atteindre 1000 kilomètres par heure. Cette onde de choc exerce une pression immense sur les objets alentours, ce qui a pour conséquence de détruire les bâtiments sur un large périmètre, ainsi que de provoquer des traumatismes et la surdité par éclatement des tympans, dû a la pression, des personnes alentours. Le passage de l'onde de choc induit un effet de vide au niveau de l'explosion qui, par l'effet de dépression, produit de forts vents en direction du point d'impact. [...]
[...] Une dose létale de neutrons est émise sur un rayon de quelques kilomètres. C'est pourquoi cette bombe est peu destructrice mais très meurtrière. Cet effet là est peu présent pour les bombes nucléaires. Par les avancés technologiques, on arrive a la miniaturisation des armes nucléaires. Certaines peuvent être contenues dans des mallettes diplomatiques. C'est pourquoi on voit apparaitre l'arme nucléaire tactique (ou de bataille) après l'arme stratégique, uniquement présente pour la dissuasion. De nos jours, l'emploi de telles armes est envisagé de manière préventive pour protéger les intérêts vitaux. [...]
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