Il y a plusieurs milliards d'années, notre planète Terre se formait. A 4 millions d'années de nos jours, l'Homo Sapiens apparut et, peu de temps après, la 1re énergie connue et maîtrisée fut le feu. Au fil du temps, l'Homme se développa et se sédentarisa. Les siècles passèrent et d'autres énergies virent le jour (charbon, vapeur…) jusqu'à la plus grande découverte du 19e siècle : le moteur à explosion. Cette invention bouleversa la destinée de notre société. Les industries abandonnèrent le charbon et se tournèrent vers le pétrole qui, à l'époque, était relativement bon marché et abondant.
En ce début de 21e siècle, la situation énergétique de notre société est plus qu'alarmante. En effet, le pétrole est devenu une denrée rare et donc chère. Les réserves de brut vont (pour certains cela est déjà le cas) atteindre leur pic de production.
Dans ce dossier, nous allons tenter de comprendre quels sont les enjeux de la problématique mise en cause, à savoir : comment préparer l'après-pétrole ?
Pour cela, nous détaillerons de manière claire les conséquences de l'après-pétrole sous différents aspects (social, économique…).
[...] Oui, mais leur soif d'argent prend le dessus. Les Etats perçoivent des revenus importants qui résultent de la vente de carburant à la pompe. Un baril de pétrole (150 litres) a un coût de production d'environ 7 dollars alors qu'à la pompe il rapporte 250 dollars. La différence est partagée entre les pays consommateurs (par le biais de taxes), les pays producteurs, les compagnies pétrolières et les intermédiaires. Donc, nous comprenons mieux pourquoi les autorités se disent impuissantes devant l'augmentation des prix du pétrole. [...]
[...] Tous ces progrès technologiques ne suffiront pas à nous arracher de cette interdépendance des transports. Pour réduire la dépendance au pétrole, il faudrait que les transports en commun prennent le dessus sur les voitures individuelles et les transports par camion. Les pays riches ont adopté de fâcheuses habitudes qui ont été incorporées dans leur urbanisme. Les pouvoirs publics devraient pencher pour la proximité du domicile au lieu de travail, pour une densification des villes, mais aussi pour favoriser l'essor des habitations collectives. [...]
[...] Ce qu'il faut savoir, c'est que le Venezuela est l'actionnaire principale sur l'Orénoque. Depuis que les experts vénézuéliens ont estimé la grandeur potentielle des gisements de pétrole, le président du Venezuela, Hugo Chavez, a profité de cette position de force pour renégocier avec les entreprises étrangères voulant exploiter ce pétrole. Il a donc imposé ses conditions. Provoquant ainsi le départ de grands majors pétroliers tels que ConocoPhillips et Exxon Mobil. Ces derniers n'ont pas voulu céder leurs parts à la société gouvernementale vénézuélienne (PDVSA[?]). [...]
[...] Le prix du baril passe de 3 à 5,12 ce qui déclenche le premier choc pétrolier. Le lendemain, l'O.P.E.P. décide d'applique un embargo à l'encontre des Alliés d'Israël. Ce premier choc est bientôt suivi d'un second en 1979-1980 lorsqu'une succession complexe d'événements va se produire. Il y a tout d'abord l'arrêt de l'exportation iranienne en 1979, ensuite le plafonnement de la production de l'Arabie Saoudite et finalement le conflit Iran-Irak en 1980. Tout cela va amener à ce que le prix du baril atteigne les 34 $ en octobre 1981. [...]
[...] Il faut savoir que les pesticides en général sont faits à partir de pétrole. Le pétrole, une aubaine pour le continent africain? Depuis le début de ce siècle, l'Afrique semble montrer une croissance économique notable. En effet, on a pu constater un taux de croissance de plus de entre 2005 et 2006. Ceci malgré les nombreux maux qui gangrènent actuellement certains pays d'Afrique tels que la famine, les conflits, l'abus de pouvoir et la corruption. Il est certain que l'Afrique ne doit pas cette progression à l'un des maux qui tentent de la faire reculer, mais bien à des agents extérieurs qui se sont combinés. [...]
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