Certains scientifiques prévoient le futur sans voiture. La voiture est pour eux une grande source de pollution, d'accidents, de problèmes et de frais. La liste des désavantages est longue. Mais ils ne nous parlent que très peu de la praticité et des avantages que l'automobile nous apporte. Alors pourquoi ne pas penser à une voiture « différente » ? Une voiture pratique qui roulerait avec un carburant facile à produire, bon marché et écologique.
Ça n'est malheureusement pas la priorité de notre monde pour l'instant... Même si depuis le dernier quart du XX° siècle, des progrès ont été réalisé dans le domaine des voitures électriques et hybrides. Ces progrès ont suivi une crise pétrolière qui est survenue dans les années 70. Le monde s'est alors rendu compte que les réserves d'hydrocarbures n'étaient pas illimitées. En effet, depuis les années 50 l'extraction du pétrole ne cesse de croître. Selon les spécialistes les réserves s'épuiseront d'ici 2050. Il est donc urgent d'essayer d'être de moins en moins dépendant du pétrole et de se presser à trouver un substitut pour nos moyens de transport.
Dans notre monde, en perpétuel changement et en dégradation constante de l'air, les systèmes de propulsion propres sont fortement appelés à se développer pour répondre à nos exigences écologiques et à nos besoins. Car au-delà de la faible disponibilité du pétrole, il y a aussi l'enjeu écologique. Et pour ça, il n'y a pas de substitut. Une nature dégradée, c'est une nature perdue.
Si nous ne changeons pas nos habitudes d'ici quelques années, les dégâts ne seront que plus importants car on estime que le parc automobile s'agrandit de 3 millions de véhicules par an. Mais le plus inquiétant reste le trafic de poids lourds qui ne cesse d'augmenter. Les facilités d'échanges entre les pays favorisent malheureusement cet effet. De plus 24% des émissions de CO2 en UE proviennent des transports et sans mesures restrictives, les émissions de CO2 augmenteront de 50% en 20 ans. Il est de notre devoir de changer nos attitudes afin de ne pas léguer un monde poubelle à nos prochaines générations. Mais ceci est autre débat qui n'entre pas dans le champ de ce travail (...)
[...] Tout dépend de la manière dont cette électricité est produite. S'il faut produire l'électricité utilisée par des véhicules à partir de centrales thermiques ou de centrales nucléaires, on ne fait que déplacer le problème, sans apporter de réelles solutions environnementales à moyen et long terme. Si cette électricité est produite par le véhicule lui-même par des systèmes de récupération d'énergie (ce qui est déjà le cas sur les voitures hybrides et dans d'autres applications) ou par des systèmes propres de production d'énergie, cela peut effectivement avoir un avenir. [...]
[...] Le moteur électrique peut jouer trois rôles lors de son utilisation: - dans un premier cas le moteur joue vraiment le rôle de moteur et fournit de l'énergie aux roues par l'intermédiaire des batteries; - dans un deuxième cas le moteur se comporte comme générateur, l'énergie cinétique de la voiture (en décélération ou en descente) est transformée en énergie électrique et est emmagasinée par les batteries ; (le moteur électrique est réversible, il peux jouer les deux rôles, mais pas au même moment bien - dans un dernier cas il ne se comporte ni en générateur, ni en moteur, il tourne en roue libre, autrement dit la question à se poser sur la fonctionnalité des moteur électrique n'est pas est ce que cela tourne mais plutôt «comment cela fonctionne-t-il ? que le moteur électrique tourne, ou qu'il soit à l'arrêt, la machine électrique peut jouer le rôle de moteur ou de générateur. Il existe plusieurs architectures des moteurs hybrides. [...]
[...] La voiture devait être assez rapide, posséder 4 roues motrices, être capable de transporter 4 personnes et enfin être hybride bien sur ! Au final, le résultat fut un monstre Une automobile énorme qui requérait 1,8 tonnes de batteries. Cette voiture fonctionnait sur un principe très simple : la voiture possédait 4 petits moteurs électriques, (donc un à chaque roue) alimentés par un moteur thermique qui permettait de produire l'électricité. La petite merveille était donc la première voiture hybride de l'histoire et le premier 4X4 de l'histoire. [...]
[...] Il est aussi très léger, il n'est liquide qu'à des températures qui frôlent le zéro absolu à la pression atmosphérique) et a une masse volumique très faible. Pour obtenir la même quantité d'énergie qu'avec un carburant conventionnel, il faudra un grand volume d'hydrogène. Cela constitue un problème pour son stockage et son transport. Le coût du stockage de l'hydrogène est pour l'instant trop élevé; il frôle les 1000 euros par kilo, sachant qu'il faut 4 à 5 kilos d'hydrogène dans un véhicule pour parcourir environ 400 ou 500 Km. Si l'on imaginait une production de masse, les prix pourraient être diminués jusqu'entre 200 et 500 euros. [...]
[...] Il s'agit d'un dispositif qui remplit les fonctions d'un démarreur et d'un alternateur de voiture. Ce dispositif a la possibilité de couper le moteur thermique pendant les petits arrêts. (feux rouges, stationnement, Cet arrêt du moteur influence sensiblement la consommation énergétique de la voiture en milieu urbain. Le niveau supérieur est le Hybride douce Ce système d'hybridisme est comparable au Stop&Start mais avec davantage de fonctions. La principale amélioration est la présence d'un freinage régénératif et d'un appoint de puissance pour les reprises, l'énergie étant stockée dans des batteries. [...]
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