Les séismes, aussi appelés tremblements de terre, sont caractérisés par des secousses plus ou moins violentes survenant brutalement à la surface de la Terre. On estime leur nombre à plus d'un million par an sur les continents mais aussi dans les océans.
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Un tremblement de terre se caractérise par :
? Des secousses au sol de courtes durées et assez violentes.
? Des modifications du paysage : sous les vibrations, les collines s'effondrent, les maisons tremblent et peuvent ensevelir leurs occupants sous les décombres, le sol se fissure...
? Eventuellement des blessés, des morts, parfois par centaines...
Tout cela est très rapide (quelques secondes).
Mais les zones touchées par un même tremblement de terre n'auront pas forcément subit les mêmes dégâts (certains endroits sont plus épargnés que les autres). Cela est du :
? Au terrain de la zone (plat, escarpé, humide, sec..)
? A la présence ou non d'habitations qui peuvent être construites selon des normes antisismiques.
? A l'intensité du séisme à cet endroit là.
En effet, l'intensité du séisme n'est pas la même partout dans les zones concernées. Elle est la plus forte à l'épicentre, lieu en surface où le séisme est le plus fortement ressenti. Plus on s'éloigne de l'épicentre, moins l'intensité du séisme est forte. Il ne peut y avoir qu'un seul épicentre (...)
[...] Il y a donc 10 000Km (10 X 1000) entre les points B et C. Les ondes sismiques ont mis 15 minutes pour aller du point A au point C pour aller jusqu'à B puis 10 pour aller jusqu'à C). Il y a donc 15 000Km entre le point A et le point C. III. Quelle est l'origine d'un tremblement de terre ? Sous la surface de la Terre, se trouvent des roches qui sont soumises en permanence à de fortes pressions pour les faire bouger. [...]
[...] Les variations enregistrées par ces appareils de mesure sont des ondes sismiques. Elles se propagent dans toutes les directions depuis l'épicentre, à la surface du sol. Comment lire un sismogramme : Sur un enregistrement, le moment où a eu lieu le séisme correspond à l'intervalle (ici encadré entre les deux barres horizontales) où le stylet dessine de grands traits verticaux. Quand il n'y a pas de tremblement de terre, le stylet dessine une ligne qui présente souvent de légers mouvements. [...]
[...] Il existe deux types de failles. Le schéma ci-dessus est du même type que la faille de San Andréas en Californie qui a détruit la ville de San Francisco en 1906. La faille ci-dessous est du même type que la faille de Muzaffarabad au Pakistan qui a tué plus de personnes en 2005. Le tsunami du 26 décembre 2004 a pour origine un séisme de magnitude 9.3 sur une échelle de 12 qui a engendré une faille de plus de 1000 Km de long. [...]
[...] Des modifications du paysage : sous les vibrations, les collines s'effondrent, les maisons tremblent et peuvent ensevelir leurs occupants sous les décombres, le sol se fissure Eventuellement des blessés, des morts, parfois par centaines Tout cela est très rapide (quelques secondes). Mais les zones touchées par un même tremblement de terre n'auront pas forcément subit les mêmes dégâts (certains endroits sont plus épargnés que les autres). Cela est du : Au terrain de la zone (plat, escarpé, humide, sec . ) A la présence ou non d'habitations qui peuvent être construites selon des normes antisismiques. A l'intensité du séisme à cet endroit là. [...]
[...] L'endroit où les roches se sont cassées est le foyer du séisme et se situe plusieurs kilomètres en dessous du sol. A ce moment là, toute l'énergie accumulée est libérée à la surface. L'intensité du séisme, ou magnitude, sera proportionnellement aussi grande que la quantité d'énergie libérée (plus il y a de l'énergie, plus l'intensité est forte). Cette énergie se transforme en ondes sismiques à la surface de la Terre. Le point situé verticalement du foyer au niveau du sol est l'épicentre du séisme. La rupture des roches provoque aussi des glissements en profondeur qui se poursuivent sur le sol. [...]
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