Ce document est une analyse complète du livre : « L'oligarchie ça suffit, vive la démocratie », de Hervé Kempf ainsi que d'en faire une critique personnelle. L'auteur dénonce à travers ce livre le système oligarchique mis en place par les puissances dirigeantes dans le monde. Avant toute chose, il est essentiel de commencer par définir des notions importantes relatives à la compréhension du livre ; tel que la démocratie, la dictature ainsi que l'oligarchie.
La démocratie se définit comme étant le gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple.
L'oligarchie se définit comme étant un régime sous lequel le pouvoir est entre les mains d'un groupe minoritaire et qui impose des décisions aux autres. Cela veut dire en d'autres termes qu'un petit groupe de puissants discute, négocie, fait la démocratie entre eux sans le peuple.
La dictature désigne un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu'aucune loi ou institution ne se limite.
[...] Chapitre 1 : la tentation autoritaire A travers ce chapitre, l'auteur nous fait savoir que certains idéologisent capitalistes pensent qu'il faut trouver mieux que la démocratie pour résoudre les problèmes de l'époque et ne pensent pas à l'écologie ; se souciant principalement des intérêts économiques. Les dictatures ne s'occupent pas des préférences des électeurs alors que celles-ci favorisent un bon état social. A son essor, le capitalisme était associé à la démocratie, c'est-à-dire le libéralisme économique associé au libéralisme politique. Actuellement, cette association est cas-y inexistante. Les autorités actuelles essayant de faire mieux que la démocratie n'ont pas su justement protéger cette idéologie. Comme nous le démontre bien l'auteur à travers le fameux sommet de Copenhague en 2009 relatif au climat. [...]
[...] Il faut sortir du régime oligarchique en accordant plus de démocratie et plus d'égalités sociales. Mais c'est le peuple qui va décider hypothèses sont possibles : Le chaos L'oligarchie reconnait ses erreurs et se divise Exit l'oligarchie, bienvenue l'auto modération D'après Hervé Kempf pour faire démocratie, il faut faire vertu, pour changer le destin écologique, il faut faire Vertu, un autre nom de l'humanité conclusion Nous constatons donc bien après analyse de ce livre que la société actuelle est dominée par une classe oligarchique. [...]
[...] Il est aussi à noter le cas des grands patrons qui augmentent leur rémunération même en pleine période de crise. Ceci étant dit que l'oligarchie pose son intérêt au-dessus de l'intérêt général. D'après l'auteur, trois différentes formes de pillage sont distinguées : s'attribuer des sommes conséquentes quand on quitte une entreprise qu'on a ruinée. Augmenter les rémunérations en pleines crises. Les traders ou spéculateurs salariés qui gonflent le profit des banques ou les établissements financiers qui les emploient en jouant sur les variations de cours des nombreux titres inventés par leur communauté. S'attribuer des sommes conséquentes. [...]
[...] On peut appeler cela de la corruption, celle-ci en hausse dans la plupart des pays européens. A titre d'exemple, un industriel taïwanais désireux de développer ces activités au Royaume-Uni, il a demandé à plusieurs parlementaires d'user de leur influence pour modifier une réglementation fiscale en discussion à cette époque. Les 4 parlementaires interrogés ont répondu favorablement à la requête, en indiquant leur tarif : de 1000 à 5000 livres par jours de travail Par ailleurs, un ancien ministre de la défense, Stephen Byers, indiqua au micro caché qu'il était comme un taxi à louer pour 5000 livres la journée. [...]
[...] Le pourcentage était quasi identique en 2006 et en 2004. Coût moyen d'un siège à la chambre des représentants est de 1.1 millions de dollars ; au sénat 6.5 millions de dollars. Les plus riches l'emportent : oligarchie et élection peuvent aller de paire. En 2007, l'UMP avait perçu à titre de dons 9125000 euros loin devant le parti socialiste et ses 743000euros. Chapitre 4 : l'art de la propagande Selon Al Gore, il existe un lien entre la démocratie et le changement climatique. [...]
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