De l'innovation participative pour une transition énergétique européenne compétitive, Thomas Pellerin-Carlin, Pierre Sekkine, think thank, tribune, politique européenne, innovation, compétitivité, citoyenneté
Nous avons affaire à une tribune présente sur le site internet de l'Institut Jacques Delors. C'est un institut fondé par Jacques Delors en 1996, à la fin de sa présidence de la Commission européenne. L'objectif est de produire des analyses destinées aux décideurs européens et aux citoyens, ainsi que de contribuer aux débats à l'Union européenne ("think tank"). Dans ce cas précis, au vu qu'il s'agit d'une tribune, le public visé est au premier abord les citoyens dans le cadre d'un document "pédagogique et communicationnel".
[...] Le contenu Ce texte offre une réflexion autour de la politique européenne concernant la transition énergétique et un outil concret à ce sujet. Il part de ce contexte : l'Europe fait face à 3 crises , une remise en cause de la démocratie représentative, le changement climatique et une définition empoisonnée de la compétitivité . L'idée centrale du texte est une exposition d'une stratégie de recherche, d'innovation et compétitivité de l'Union de l'Énergie qui va permettre de répondre à ces 3 crises dans le même temps, passant principalement par l'innovation participative. [...]
[...] De l'innovation participative pour une transition énergétique européenne compétitive - Thomas Pellerin-Carlin, Pierre Sekkine (2016) L'analyse du document Référence : PELLERIN-CARLIN, Thomas et SERKINE, Pierre, De l'innovation participative pour une transition énergétique européenne compétitive , Tribune, Institut Jacques Delors, septembre 2016 [en ligne : https://institutdelors.eu/wp-content/uploads/2018/01/energieinnovationpellerincarlin-serkineijdsept16.pdf]. Consulté le 17/11/2019. Les auteurs Monsieur Pellerin est le chef du Jacques Delors Energy Center et est membre de l'Institut depuis 2015. Il est chercheur concernant la politique européenne de l'énergie. (Master en études politiques et administratives européennes du Collège d'Europe et d'un master en Affaires européennes de sciences de Po-Lille.) Par le passé, il a travaillé entre autres dans l'administration française (Secrétariat Général aux Affaires européennes, 2012), au Collège de l'Europe (Belgique, 2013-2015), etc. [...]
[...] Nous avons une impression qu'il y a une réflexion sur une stratégie et donc il faut trouver des problèmes pour légitimer ma réflexion plutôt qu'il y a des problèmes donc réfléchissons. (Par exemple : Les opérateurs historiques [ . ] ne parviennent pas à faire face à la baisse actuelle des consommations d'électricité ; il n'y a pas de chiffres, pas d'intervalle temporel et en allant effectuer des recherches sur le site de EDF, les consommations d'électricité mondiale sont en hausse). [...]
[...] (il n'émet pas de doutes ou de réflexion autour du cofinancement, n'y a-t-il pas de problèmes ? etc.) Next step Plus d'informations sur : Les plateformes de co-financement où ici il n'y a très peu d'informations négatives , de modalisation. ( un citoyen européen investit un euro, l'UE investit un euro. , possible ?) Intérêt pour les entreprises de ce genre de démarche (ici il n'y a que le point de vue des citoyens, démocratie). Des autres formes de participation citoyenne (ici qu'un exemple). La compétitivité passe-t-elle uniquement par l'innovation ? Concept : effet Ikea, intrapreneuriat. [...]
[...] Cette innovation doit se faire pour et par le citoyen. Un outil concret pour appliquer cette logique d'innovation participative dans le domaine de l'énergie est une plateforme numérique de cocréation ; innovateurs et citoyens donnent leurs idées de projets, les projets sont sélectionnés démocratiquement, cofinancement (citoyens, investisseurs privés, communauté locale, UE). L'apport pour le travail à réaliser L'essentiel Nous avons un document dont le cadrage se focalise clairement sur le côté politique, économique avec une réflexion sur un modèle, une stratégie politique ou sur des concepts de modèles politiques et économiques ; des réflexions purement scientifiques ou même des données scientifiques (sur les technologies à adopter pour la transition ou autre, des chiffres de rejets de GES, etc.) ne sont pas présentes. [...]
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