"Écologie la grande arnaque" est un ouvrage rédigé par Christian Gérondeau, personnalité publique française, connu sous le nom de « Monsieur Sécurité » par son action comme délégué à la Sécurité routière. Il est aujourd'hui président de la Fédération française des automobiles clubs et des usagers de la route ainsi que de l'Institut français de politique publique.
Dans son livre "Écologie, la grande arnaque", publié en 2007, il dénonce ceux qui se servent de l'écologie pour imposer une vision tragique du monde afin de remettre en cause notre société. Après avoir énuméré les principaux gaspillages et démonté les idées reçues, il montre en quoi une refonte de la politique mondiale de l'environnement est nécessaire.
[...] "Écologie, la grande arnaque", Christian Gérondeau (2007) Introduction Écologie la grande arnaque est une œuvre rédigée par Christian Gerondeau, personnalité publique française, connu sous le nom de Monsieur Sécurité par son action comme délégué à la Sécurité Routière. Il est aujourd'hui président de la Fédération française des automobiles clubs et des usagers de la route ainsi que de l'Institut français de politique publique. Dans son livre Écologie, la grande arnaque (2007), il dénonce ceux qui se servent de l'écologie pour imposer une vision tragique du monde afin de remettre en cause notre société. [...]
[...] Telle est la démonstration à laquelle s'attèle l'auteur de cet ouvrage. Le réchauffement climatique: un problème à considérer de manière globale Dans un second temps, Christian Gérondeau s'attache à expliciter les causes de cette nouvelle vague dite d'écologisme, portée aussi bien par certains hommes politiques que par les médias et un nombre croissant d'intellectuels. Selon lui, il s'agit essentiellement pour les écologistes de remettre en cause le système capitaliste, notamment à travers l'épuisement des ressources, cause de notre consommation irraisonnée. [...]
[...] Il s'agit donc de mettre fin aux mythes qui font croire qu'un changement radical est possible. On doit inscrire la politique environnementale dans une perspective mondiale en tentant de contraindre les pays réticents au changement tels les États-Unis tout en aidant les pays en voie de développement de sorte qu'ils puissent se développer au mieux et s'attaquer au plus vite aux problèmes environnementaux. Dès lors, la mondialisation n'est-elle pas la parfaite opportunité afin de promouvoir cette approche globale de l'environnement? [...]
[...] Réduire les émissions reviendrait donc à remettre en cause leur développement. Et contrairement au développement au sein des pays industrialisés, ce développement-là est la condition sine qua non de leur survie. C'est ce que soutient l'économiste Edmund Phelps, prix Nobel d'économie en 2006: selon ses propres termes, il faut d'abord favoriser l'expansion économique dans le monde pour, à long terme, s'attaquer à grande échelle aux problèmes d'émissions de gaz à effet de serre Considérant cela, dépenser des milliards est inutile dans la mesure où l'action n'est pas mondiale. [...]
[...] Le réchauffement climatique: un combat consubstantiel aux études économiques sérieuses C'est pour mettre en garde contre notre attitude face au réchauffement climatique que l'économiste britannique Nicholas Stern a publié un rapport (appelé le Rapport Stern) dans lequel attire l'attention sur les conséquences du réchauffement climatique à l'égard de l'économie mondiale. Selon ce rapport, le réchauffement climatique pourrait coûter du PIB mondial alors qu'en consacrant 1 à de ce même PIB dès maintenant il serait possible de changer la donne. Ce rapport souligne l'inefficacité des mesures prises isolément et rappelle que c'est par la voie technique et l'incitation financière qu'il est possible de changer le cours des événements. [...]
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