L'écodesign, stratégie marketing ou choix de société ?

Résumé du document

TPE complet concernant les nouvelles technologies adaptées pour l'environnement. Un sujet d'actualité. L'environnement n'est plus de sa première jeunesse, et c'est pour nous, citoyen du monde, de s'en occuper et de le préserver. Malgré l'importance de cette responsabilité, on constate que certaines personnes oublient leur rôle primordial qu'ils y jouent.

Extraits

[...] L'emballage aseptique compte au total six couches qui se suivent dans cet ordre : Polyéthylène, papier, polyéthylène, feuille d'aluminium, polyéthylène et polyéthylène feuille de polyéthylène en contact avec l'aliment et qui assure l'étanchéité du contenant; feuille de polyéthylène qui fait adhérer les couches 1 et 3 l'une à l'autre; feuille d'aluminium ultra-mince qui protège les aliments de la lumière et de l'air; feuille de polyéthylène qui fait adhérer les couches 3 et 5 l'une à l'autre; feuille de papier qui confère à l'emballage sa forme et sa rigidité; feuille de polyéthylène qui protège l'aliment de l'humidité extérieure. Un bon emballage doit respecter plusieurs critères : conservation, protection, commodité . La production, l'entreposage et la distribution de l'emballage et de son contenu consomment le moins possible d'énergies, de matières premières et d'autres ressources. Les meilleurs emballages ne servent pas uniquement à protéger les produits, mais également à optimiser les ressources investies dans la fabrication. [...]

[...] Donc, l'emballage aseptique consiste à placer les produits traités par UHT dans des contenants pré stérilisés. Par rapport à la pasteurisation (procédé traditionnel), le procédé UHT présente l'avantage de garder les produits frais pendant des mois hors du réfrigérateur. Le principe de l'emballage aseptique La couche intérieure de l'emballage aseptique, celle qui est en contact avec le produit, est formée de polyéthylène (du plastique) et non d'aluminium. Le polyéthylène forme une barrière parfaitement sûre : il est impossible que des fuites d'aluminium se produisent et contaminent l'aliment. [...]

[...] Le plus souvent, une auto déclaration ne porte que sur une caractéristique environnementale du produit ou ne concerne qu'une étape du cycle de vie du produit. De même, des messages et pictogrammes largement répandus, comme "économe en énergie", ne font généralement pas appel à un contrôle par tierce partie. Faites sous la seule responsabilité des entreprises, les informations auto déclarées sont très variées. Certains labels privés sont collectifs, c'est-à-dire initiés par un secteur industriel ou par un organisme professionnel considéré comme indépendant du fabricant. [...]

[...] - Encourager les consommateurs à devenir des consommateurs «éco responsables» en leur faisant prendre conscience de l'impact des produits sur l'environnement. Caractéristiques Les éco labels sont des démarches de certification : - volontaires : seules les entreprises qui le souhaitent peuvent accepter les éco labels. - sélectives : elles ne concernent que certaines catégories de produits. - globales : elles prennent en compte l'intégralité du cycle de vie du produit sur plusieurs critères. - évolutives : l'éco label n'est attribué que pour une durée déterminée, les cahiers des charges sont amenés à être adaptés aux évolutions technologiques. [...]

[...] Ainsi, cette collecte de renseignements est très compliquée car l'entreprise doit envoyer un questionnaire à l'ensemble de ses fournisseurs. Puis l'ACV prend en compte l'ensemble des impacts environnementaux générés par le produit. Cet impact peuvent être multiples : - augmentation de l'effet de serre, - pollution de l'air, - pollution de l'eau, - diminution de la biodiversité, - production de déchets - épuisement des ressources naturelles La méthodologie de l'ACV est énoncée par la norme ISO. Elle dit notamment qu'elle est composée de quatre étapes : -la mise en place des objectifs, - l'inventaire du cycle de vie, -l'évaluation des impacts sur l'environnement, - la recherche d'amélioration du produit. [...]