Avec la révolution industrielle au XIXe siècle, l'apparition des transports s'est doublée d'une nouvelle consommation et d'un nouveau besoin en énergie, comblée dans le même temps par la maîtrise de l'utilisation en tant que combustible de diverses matières, alors encore récemment découvertes : les énergies fossiles. Seulement, de nos jours, il est question de les remplacer rapidement et durablement par des énergies dites « propres », les énergies renouvelables, et ceci fait l'objet d'une importante problématique.
[...] Ensuite, leur stockage (puis leur transport) est aussi un point faible : de par leur intermittence (comme par exemple pour l'énergie solaire), à cause du décalage entre la quantité d'énergie produite irrégulièrement et celle nécessaire constamment. Celui-ci nécessite donc un stockage important (alors que ce dernier est complexe comme pour les batteries de voitures électriques) ou alors une baisse de la consommation d'énergie, mais aussi une recherche d'alternative lors des périodes de faible intensité produite (la nuit pour le solaire, accalmie pour l'éolien), c'est-à-dire, le recours à un autre type d'énergie (comme les voitures hybrides : l'essence) ou d'un booster pour doper leur rendement. [...]
[...] Pourquoi et comment utiliser les énergies renouvelables pour se déplacer ? Avec la révolution industrielle au XIXe siècle, l'apparition des transports s'est doublée d'une nouvelle consommation et d'un nouveau besoin en énergie, comblée dans le même temps par la maîtrise de l'utilisation en tant que combustible de diverses matières, alors encore récemment découvertes : les énergies fossiles. Seulement, de nos jours, il est question de les remplacer rapidement et durablement par des énergies dites propres les énergies renouvelables, et ceci fait l'objet d'une importante problématique. [...]
[...] Enfin, certaines zones de productions d'énergie renouvelables peuvent porter quelque nuisance. Malgré ces freins, les avancées récentes technologiques ont permis la réduction de leurs points faibles, et l'arrivée puis le développement d'activités utilisant les énergies renouvelables. Ainsi (mis à part les transports déjà à l'origine renouvelables, tels que les voiliers, planeurs, vélos) dans le secteur des transports, de nombreux moyens de communication se sont tournés vers le propre et utilisent déjà les énergies renouvelables. De plus, ce développement est favorisé, notamment en France, par la richesse du territoire : forêt, gisements éoliens, potentiel hydraulique important, etc. [...]
[...] Mais aussi, d'autres transports peuvent se voir utiliser les énergies renouvelables, comme les transports en commun : TGV, métros, bus, tramways, sont des moyens de locomotions utilisant des circuits électriques, mettant alors de côté les énergies fossiles. Enfin, aussi, du côté de l'aviation, la recherche d'un bio-kérosène assez performant pouvant remplacer le kérosène actuel est d'actualité (chez Air France notamment). Les énergies dites propres sont donc désormais, face au problème récurrent des énergies fossiles, deviennent progressivement nécessaire dans notre consommation quotidienne d'énergie dans le secteur des transports, et pour cela, de nombreux moyens techniques se mettent en place afin de réduire au maximum l'impact de nos actions de déplacement sur la planète. [...]
[...] De nos jours, les transports très diversifiés (train, automobile, avion, bateau) prennent une place importante dans la consommation d'énergie mondiale : elle représente environ de celle-ci. Mais surtout, cette consommation est croissante, et risque de se voir multiplier par 1,4 d'ici 2020 à cause de l'augmentation de la population mondiale, mais aussi de l'augmentation de la part de la consommation d'énergie de ce secteur, par exemple, avec l'agrandissement du parc automobile. Seulement, le problème réside dans la gamme d'énergie utilisée majoritairement (à 80 par ce secteur : les énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz). [...]
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