Du 7 au 18 décembre 2009, sous l'égide de l'ONU, la communauté internationale s'est réunie pour négocier les nouvelles mesures à adopter contre le réchauffement climatique. Les différents pays participants ont alors élaboré un accord commun concernant l'après-protocole de Kyoto. Ces négociations vont permettre de définir des objectifs précis en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour la période 2013 à 2017.
Les travaux du sommet de Copenhague ont-ils modifié l'accord international déjà préétabli ? Qu'apportent-ils réellement ?
[...] D'autre part, les engagements des pays industrialisés devront être mesurables et vérifiables, afin d'en contrôler la réalité. Pour les pays en développement, ils communiqueront eux-mêmes, tous les deux ans, les informations sur leurs politiques nationales, en offrant les éléments ouvrants à des consultations et analyses internationales, dans le respect de leur souveraineté nationale. Et pour finir, diverses aides de la part des pays développés ont été versé et la Création d'un fonds dit Fonds Vert Climat» de Copenhague a été crée pour que les pays en développement puissent lutter correctement face aux changements climatiques. [...]
[...] Par conséquent, lors du sommet, les chefs d'État ont accepté d'allouer certaines sommes pour le développement durable. Chaque pays souhaite préserver l'écologie, ce qui n'était pas le cas lors de l'accord Kyoto. À noter que si l'un des trois plus grands émetteurs de gaz à effet de serre, à savoir, la Chine, les États-Unis et l'Union européenne, aurait refusé un éventuel accord, la conférence aurait été un total échec, car dès lors, aucun impact réel n'aurait été réalisé. La portée réelle des travaux de Copenhague a été donc d'élargir la contrainte de Kyoto aux autres pays. [...]
[...] La Terre souffre et le Monde sait désormais qu'il faut protéger l'environnement pour la survie de notre espèce de maintenant et à venir. Le reportage HOME de Yann Arthus-Bertran, datant de 2009, nous montre bien à quel point, la situation est alarmante. D'où l'importance du Sommet de Copenhague. Le Sommet de Copenhague est une conférence réunissant près de 200 pays. Du 7 au 18 décembre 2009, sous l'égide de l'ONU, la communauté internationale s'est réunie pour négocier les nouvelles mesures à adopter contre le réchauffement climatique. [...]
[...] On se pose les questions suivantes : les travaux du sommet de Copenhague ont-ils modifié l'accord international déjà préétabli ? Qu'apportent réellement ces travaux ? Ainsi, une synthèse sur les travaux de cette conférence s'impose. Pour synthétiser le tout dans un ensemble cohérent, il convient d'analyser les travaux du Sommet de Copenhague puis de voir les impacts qu'ils ont eu (II). Les travaux de Copenhague : un sommet sous urgence climatique Avant de voir les axes de travail du Sommet de Copenhague il serait bien de rappeler dans quelles circonstances cet accord a vu le jour Le sommet de Copenhague : un accord suivant le protocole de KYOTO Le Protocole de Kyoto a été le premier traité international de lutte contre les changements climatiques. [...]
[...] Ce qu'on reproche réellement à Copenhague est que l'accord n'a aucune portée normative. C'est vrai que juridiquement parlant le seul instrument légal contre le réchauffement est l'accord de Kyoto, et il ne concerne qu'un tiers à peine des émissions mondiales. Cela signifie qu'au jour d'aujourd'hui si un pays signataire de l'accord ne respecte pas une des dispositions, il ne se verra point sanctionné puisque juridiquement ce pays n'est pas lié par cet engagement. On peut dire que c'est un accord de confiance entre les différents pays, d'où le mécontentement général de la majorité de la population. [...]
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