Le climat tient une place essentielle dans l'interface nature-culture. Il détermine aussi bien les écosystèmes que les infrastructures humaines. Grâce à des technologies toujours plus innovantes, l'homme a pu s'adapter à de nombreux espaces. Depuis un siècle, l'urbanisation et l'industrie se développent rapidement. Cela a abouti à une modification des écosystèmes et de l'atmosphère. Le réchauffement climatique est donc directement dû à l'homme qui l'a involontairement créé par le biais de rejet dans l'atmosphère de gaz à effet de serre. Une étude géographique s'impose parce que l'augmentation des températures varie selon le lieu. De nombreuses incertitudes demeurent sur les valeurs de ce changement climatiques qu'elles soient mesurées ou modélisées. Bien vite les médias se sont emparés du phénomène qui concerne toute la population. Le réchauffement peut en effet avoir de nombreux impacts sur l'environnement et l'homme. Une prise de conscience générale a conduit à organiser des conférences sur le sujet. Des mesures, visant à limiter la pollution à l'origine de ce phénomène, commencent à être prises mais restent encore très limitées.
[...] Ce réchauffement est estimé à partir de la température moyenne de la basse atmosphère. À la vue de sa valeur, on n'a plus affaire à un simple écart à la moyenne mais à un réel changement climatique. Le climat étant un système où divers éléments sont en interaction ce réchauffement a obligatoirement des impacts sur les autres aspects du climat influant ainsi sur la nature et sur l'homme. C'est d'ailleurs celui- ci qui est à la base de ce changement climatique. [...]
[...] Les êtres vivants animal ou végétal qui les composent sont adaptés à des conditions de vie précise, dans lesquelles le climat tient une grande place. Ainsi, on suppose qu'un changement climatique sur un écosystème forestier conduirait à un déplacement des aires de végétation du Sud au Nord. Cela n'est évidemment pas si simple car les végétaux ne sont pas qu'adapter au climat mais aussi au sol et il n'est pas évident que plus au Nord ils trouveront un sol identique. [...]
[...] Le réchauffement aura aussi de nombreux effets sur la santé humaine. Tout d'abord les vagues de chaleur créent un stress thermique qui peut être dangereux pour les personnes vulnérables. Ensuite, les insectes, vecteur de transmission de maladie comme la malaria, verront leurs conditions de vie améliorées par le réchauffement. Ils pourront conquérir de nouveaux territoires où ces maladies sont inexistantes ou ont été éradiquées. Il ne faut pas oublier que ce réchauffement sera accompagné d'une recrudescence de la pollution ce qui entraînera une concentration de produit toxique dans l'atmosphère. [...]
[...] Il faudrait également que chaque citoyen prenne conscience de l'importance de diminuer la pollution et essaie d'agir à son niveau (sans pour autant utiliser des tonnes de papier en publicité pour lui faire comprendre ) Le réchauffement est donc l'affaire de tous car il déséquilibre nature et culture qui sont d'ailleurs étroitement imbriquées. Ses prévisions au niveau géographique peuvent aider à lutter contre les impacts. Conclusion Ainsi, le réchauffement climatique et les phénomènes qu'il induit se répartissent géographiquement et leur étude doit se faire par rapport au territoire. La climatologie est donc une partie indispensable des sciences géographiques. Le climat est déterminant pour l'interface Nature-Culture. Mais l'homme par ses technologies et son expansion l'a involontairement modifié. Le réchauffement climatique amorcé est réel même si de nombreux facteurs rendent son estimation exacte difficile. [...]
[...] Les conditions climatiques jouent un double rôle aux niveaux des sociétés humaines. Ce sont d'abord des potentialités dont on peut tirer parti aux niveaux des ressources mais aussi des contraintes dont il faut tenir compte. Le climat joue un grand rôle sur la répartition géographique des hommes et sur leur culture. Ceux-ci ont conquis des milieux naturels bien divers sachant adapter leurs sociétés et leur mode de vie aux conditions naturelles. Ainsi les grands déserts sans écoulements superficiels, ne pouvant assumer de fortes densités de population, on retrouve des sociétés organisées. [...]
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