Il n'y a pas de doute que notre planète se réchauffe. Globalement, la température s'est élevée de 0,6 °C pendant le siècle dernier. Les évidences scientifiques ne font pas défaut. Le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dans son second rapport approuvé en décembre 1995 confirme l'opinion de la majorité des scientifiques selon laquelle les concentrations de gaz à effet de serre s'accroissent sous l'effet des activités humaines. Les climatologues prévoient une augmentation de la température moyenne du globe de 2°C d'ici 2100 en cas de doublement de la concentration de gaz à effet serre dans l'atmosphère. La fonte d'une partie des glaces polaires et le réchauffement des océans entraîneraient une élévation du niveau des mers. Tout ceci aura des conséquences irréversibles pour les écosystèmes, l'économie mondiale et les populations
[...] à plus de bus et véhicules municipaux roulent avec. Entièrement biodégradable, réduisant les rejets de CO2 par quatre, ce carburant nouvelle génération semble s'affirmer comme une alternative sérieuse au gazole Exemple d'Alençon Depuis 1993, les bus qui desservent la communauté urbaine d'Alençon carburent au Diester. Grâce à une politique globale de dynamisation du réseau, le nombre de passagers a augmenté de 50% en moins de sept ans. Alto, compagnie des bus alençonnais, transporte chaque année 1,5 millions de voyageurs, soit 50% de plus qu'en 1991 ! [...]
[...] Diminuer les consommations de carburant et diversifier les approvisionnements énergétiques. Favoriser les alternatives Pour anticiper les tensions potentielles sur le marché de l'énergie et plus particulièrement des carburants, mais également pour lutter contre la pollution induite par les rejets, il convient d'offrir des alternatives à l'essence et au diesel. A long terme, le véhicule électrique mais aussi les biocarburants issus des cultures énergétiques semblent offrir des perspectives intéressantes. A plus court terme, les carburants dérivés des combustibles fossiles (GPL et GNV) séduisent davantage les consommateurs. [...]
[...] TRANSPORT AERIEN Pollution par km/passagers de différents modes de déplacements Source : moyenne des ministères européens de l'environnement Données sur la pollution de l'avion L'avion consomme 10% des carburants européens. Un gros avion (Boeing 747) brûle 15000 litres de kérosène à l'heure, autant que 1500 voitures. Chaque jour, plus de 10 millions de tonnes de kérosène sont brûlées dans l'atmosphère. En 95, le transport aérien émettait 550 millions de tonnes de CO2, autant que le Royaume Uni qui se place en septième position dans la liste des plus gros pollueurs mondiaux. [...]
[...] De en 1995, le nombre de véhicules équipés est passé à en 1996 et à en 1997. Il serait proche de unités aujourd'hui, ce qui dénote un taux de croissance de près de par an. Le nombre de stations délivrant du GPL est passé de 600 environ en 1995 à 900 début 1998, soit le même nombre qu'en 1992. On est toutefois encore loin du nombre record de points de vente GPL recensé début 1986, au lendemain de l'autorisation alors donnée à la bi-carburation GPL/essence qui avait fait espérer un envol de la consommation du GPL. [...]
[...] - DR deux roues. La différence par rapport à 100% provient de la contribution des véhicules particuliers alimentés par du gaz de pétrole liquéfié. Le secteur transport est le principal responsable des émissions de SO NOx, COVNM, CO : Les oxydes de soufre sont principalement émis par les moteurs diesel. L'essence est cependant responsable de près d'un quart des émissions. Pour les oxydes d'azote, c'est le parc de véhicules à essence (notamment véhicules particuliers non catalysés) qui induit la majeure partie des émissions. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture