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Aujourd'hui dans le monde, la question environnementale est au coeur d'une grande partie des sujets d'actualité et ce depuis des dizaines d'années. Les États-Uni étant les plus gros pollueurs mondiaux par habitant, sont donc les principaux concernés même si cette question environnementale s'adresse à tous les pays. Que ce soit à l'échelle mondiale ou nationale, et depuis l'arrivée de Trump au pouvoir, les rapports entre la plus grande puissance mondiale et la nature se sont dégradés. Pour faire face aux décisions relatives à l'environnement, prises par le gouvernement, de nombreux états fédérés - comme le Texas ou encore la Californie- ont décidé de mener une politique environnementale qui leur est propre, en contradiction avec la politique gouvernementale, entraînant alors des tensions et des contrastes.
Mais en quoi peut-on dire que les États-Unis et la Californie appliquent une politique environnementale différente, que ce soit à l'échelle nationale par la gouvernance climatique ou à l'échelle mondiale par la lutte contre le réchauffement climatique ?
[...] Grant, est le premier président qui va sanctuariser des espaces comme il le fit pour le parc de Yelostone en 1872. Il y a l'apparition de l'idée de sanctuarisation du territoire et de conservation grâce à une exploitation avisée, aujourd'hui 13% du territoire américain est sanctuarisé. Roosevelt, trente ans plus tard va continuer cette sanctuarisation de parcs et va aller jusqu'à créer en 1905 le service national des forêts. Vont apparaître ensuite de nombreux accords et COP dans lesquels les Etats-Unis vont faire partis. [...]
[...] le pays opte en 2017 pour un président qui lui ne porte aucun intérêt pour l'environnement, et qui est l'émanation de l'institut Marshall. En effet, Donald Trump, climatosceptique milliardaire en contact avec de nombreuses personnes richissimes liées aux énergies va prendre de nombreuses décisions liées à l'environnement que ce soit sur un point de vue national comme international. Tout d'abord, le président Trump et son administration, où l'on trouve de nombreux proches des milieux de l'énergie, ont pris par décret près d'une centaine de mesures de dérégulation ou d'annulation de mesures environnementales mises en œuvre par l'administration Obama. [...]
[...] En outre, ce rapport entre Etats-Unis et environnement est très paradoxal car certes il y a sanctuarisation, protection, accords . mais il y a aussi surexploitation des ressources. En effet, les États-Unis sont les deuxièmes plus gros pollueur mondial derrière la Chine mais le premier pollueur mondial en termes de rejet CO2 par habitant. Le pays étant très attaché au capitalisme, il lui est difficile de passer par des domaines autres que les énergies pour faire fortune. Que ce soit les exploitations de gaz de schiste, de pétrole, de charbon ou encore de minéraux, tous ont une exploitation dévastatrice de l'environnement allant même pour certaines jusqu'à des catastrophes écologiques d'origine anthropique. [...]
[...] De plus huit des douze plus grandes centrales solaires des Etats-Unis se trouvent en Californie lui permettant de produire à elle seule plus du tiers de l'énergie du pays, et donc d'adopter une politique visant à utiliser les énergies renouvelables non polluantes pour fournir les besoins de la population. Cet Etat s'est aussi engagé à produire 100% d'électricité d'ici à 2045. La Californie a mis également en place de nombreuses réglementations environnementales à partir de 2020, toutes les nouvelles maisons devront être équipées d'installations photovoltaïques pour la production d'énergie solaire milliards de dollars ont été investis dans des start-up de l'énergie verte de 2007 à 2017 ou encore l'atteinte de la neutralité carbone en 2045. [...]
[...] La politique environnementale californienne En effet, pour poursuivre, la Californie est un Etat qui depuis les années 1970, est très soucieux de l'environnement (dès les années 2000 des décisions sont prises comme l'instauration de prime incitant les Californiens à acheter des voitures moins polluantes) et va même jusqu'à prendre la tête de la résistance contre les décisions internationales, et notamment en s'engageant à respecter l'Accord de Paris abandonné par Washington. A alors lieu la création du mouvement We are still in , réunissant Etats fédérés, contés, villes, et même firmes transnationales. Ces firmes bien qu'elles soient polluantes (de par leurs transports de marchandises, exploitation de terre rare, rejet de plastique . ) pratiquent le Greenwashing afin de verdir leurs images et de faire plaisir à l'opinion publique bien qu'il y a peu d'efforts. [...]
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