Ce phénomène est longtemps resté inconnu par l'homme. Il a été découvert il n'y a qu'un peu plus d'un siècle, en 1896, grâce aux travaux d'Henri Becquerel ; il le nomma d'abord rayon uranique. Il s'en suivit de nombreux autres travaux et en particulier ceux de Pierre et Marie Curie qui reçurent, avec H. Becquerel le prix Nobel pour leurs découvertes. C'est Marie Curie qui nomma en 1898 le phénomène découvert deux ans auparavant : la radioactivité (...)
[...] Il faut tout de même prendre en compte le risque chimique présenté par la nature des éléments présents dans certains déchets. On neutralise les déchets moyennement ou faiblement radioactifs dangereux de ce point de vue avec des matériaux à base de ciment ou du bitume dans des fûts métalliques de 200 L. Il n'y a pas de site de stockage précis pour ce type de déchets, généralement ils sont entreposés à l'usine de la Hague mais aussi au centre de stockage de Morvilliers (mis en service en août 2003) qui est dédié au stockage des déchets de très faible activité. [...]
[...] Un positron est un anti- électron, le positron et l'électron possèdent la même masse mais ont des charges opposées; un positron a donc une charge positive. La radioactivité β+ ne se manifeste que dans les noyaux radioactifs créés artificiellement dans les centrales nucléaires ou en laboratoire. a. Radioactivité β-. Dans ce cas-ci, un neutron va être converti en proton dans le noyau radioactif. Pour que les charges soient équilibrées de chaque côté de l'équation, on aura création d'un électron. La radioactivité β- se déroulera selon l'équation : où n est un neutron, p un proton et e un électron. [...]
[...] En admettant que la matière fissile se trouve sous la forme d'une sphère, il faut donc que le rayon de la sphère soit au moins égal au libre parcours moyen* de réabsorption des neutrons. A ce rayon correspond une masse critique de matière fissile, mc, telle que la réaction en chaîne puisse devenir explosive. En effet cette masse critique correspond à la quantité de matière fissile nécessaire afin que la réaction en chaîne puisse devenir explosive et donc créer l'explosion de la bombe. [...]
[...] La fusion présente l'avantage de créer une grande quantité d'énergie avec peu de combustible. Mais sa reproduction sur Terre reste un projet Le fonctionnement de la fusion La fusion thermonucléaire consiste à assembler deux noyaux légers afin d'en former un plus lourd. La collision de deux noyaux leur permet de fusionner en un noyau plus lourd avec, parfois, la perte d'un ou plusieurs neutrons. Par exemple dans le Soleil a lieu la fusion de noyaux d'atomes d'hydrogène pour donner de l'hélium et un neutron (schéma ci-contre). [...]
[...] On les retrouve beaucoup dans la nature. Par exemple, l'énergie libérée par le Soleil. Pour obtenir cette énergie, il existe différents processus : la fission, déjà exploitée de nos jours, et la fusion nucléaire, qui demeure un projet. A. La fission nucléaire La réaction de fission est sans doute la plus importante car elle nous permet, aujourd'hui, de nous éclairer, de nous chauffer, etc . En France de l'électricité produite provient de la fission nucléaire en Lituanie en Belgique . [...]
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