La nature, par définition, est ce qui n'a pas été soumis aux mains des Hommes. Ainsi, l'influence du temps, du milieu et des conditions climatiques intervient dans ce que la nature produit et offre. Il faut savoir que l'Homme appartenait à la nature, il vivait de la nature, c'est-à-dire de ce qu'elle lui procurait directement.
Il vivait en harmonie avec la nature, il vivait de la nature et pour ainsi dire dans la nature : il y trouvait tout ce dont il avait besoin pour vivre convenablement. Au fil du temps il a essayé de comprendre et de soumettre les phénomènes naturels dont il bénéficiait, mais dont il était aussi victime pour en arriver à transformer ce que la nature lui donnait…
Et ce, depuis les temps anciens comme nous le montre l'exemple du feu : l'homme a su maîtriser cet élément dont toutes les autres créatures ont peur. C'est là tout le Mythe de Prométhée : avec le feu, l'homme se protège et s'élève au-dessus de ce que la nature contient (« bestioles de la terre et de la mer » dit la Bible dans la Genèse) et ainsi la culture prend son essor. D'autres parts, des auteurs comme Jean-Jacques Rousseau pensent que la nature a tout offert à l'homme, qu'elle est la source de son bonheur et de son épanouissement.
La conception des Lumières a voulu livrer la nature à l'homme pour qu'il puisse l'exploiter sans limites. Elle a été ensuite la vision du XIXe siècle et de la révolution industrielle -jusqu'à aujourd'hui - qui a transformé la nature en chantier. André Cazetien, dans son œuvre publiée en 2006 « L'homme qui vivait avec les ours », souligne notre incapacité de préserver notre patrimoine, de préserver ce qui nous a fait vivre, ce qui nous fait vivre et doit continuer à nous faire vivre : la nature.
La nature y est représentée comme un lieu de rencontre, un lieu harmonieux et riche. Ce roman nous renvoie directement à notre attitude vis-à-vis de la nature, et de ce qu'elle nous donne. Le roman « Le chasseur de rêve » de Nicolas Vanier retrace la vie des hommes lorsqu'ils vivaient encore en harmonie avec la nature. Alors se pose la question « La nature nous accueille t- elle ? Ou bien l'homme accueille-t-il la nature ? »
[...] Oiseau englué. Cependant, de tels déversements sont sans inconvénients, au niveau de la pollution de l'océan, lorsqu'ils se produisent au large car les divers micro-organismes du plancton assurent la biodégradation de la quasi- totalité de la masse déversée. Mais, ils exceptent toutefois une faible quantité de produits lourds qui retombe sur le fond, sans conséquences. Ainsi, le pétrole qui se déverse par suintement depuis des millions d'années dans les profondeurs des océans est, au fur et à mesure, digéré à son arrivée en milieu marin. [...]
[...] Il emploie cette méthode au commencement de la vidéo lorsqu'il décrit un endroit près de la nature, au bord d'une rivière et qu'il introduit Et soudain, il se produit un changement en vous. Vous poussez un soupir et vous vous dites : Ah oui ! J'avais oublié. Il y a une forte probabilité que le spectateur se reconnaisse dans cette remarque exécutée par Gore. Albert Gore, pour réaliser son film, ses conférences, son livre, a agi comme s'il réalisait un projet naturaliste. [...]
[...] Elle regroupe l'ensemble des actions qui modifient le milieu naturel en espace rural pour la production de végétaux et d'animaux utiles à l'homme. Les milieux agricoles sont des milieux anciennement et profondément humanisés. Certes, le milieu naturel n'existe plus, mais il subsiste des éléments naturels tels que les forêts, alpages, étangs, marais, rivières, le plus souvent modifiées par l'homme. C'est à partir du 19ème siècle qu'eut lieu une transformation profonde des conditions de l'exploitation agricole. En outre, l'homme ayant acquis de nouvelles connaissances des plantes et des sols introduisit des méthodes nouvelles rendues possibles par l'emploi des machines, ce qui exposa l'agriculture à une véritable révolution. [...]
[...] En effet, l'art de la littérature peut-être un moyen de refléter les défauts de l'homme, ses erreurs et son comportement inacceptable. Des artistes tels que Jean- Jacques ROUSSEAU ou encore Victor Hugo avec Les contemplations pensent que la Nature a tout offert à l'homme, qu'Elle est la source de son bonheur de son épanouissement. Mais d'après eux il est également à la source de ses propres problèmes, car les hommes entre eux se ridiculisent, se déconsidèrent et par conséquent se contraignent une certaine évolution. [...]
[...] L'agriculture qui à le plus grand impact sur la nature est évidemment l'agriculture intensive. En effet, elle remet en cause la sécurité de notre alimentation et elle est grande consommatrice de matériel et d'énergie fossile ; elle pollue en nitrates et créer des excédents .Elle fait appel à l'irrigation, ce mot vient du latin irrigatio et elle exprime l'action de faire couler dans une certaine direction L'irrigation est, d'après le Dictionnaire de l'eau (1981), l'arrosage artificiel des terres pour les besoins agricoles. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture