J'ai organisé mon exposé en 5 parties :
Une introduction présentant la catastrophe de la mer d'Aral et faisant un état des lieux
Une partie expliquant les causes de celle-ci
Une longue partie exprimant les conséquences d'un tel désastre
Et enfin une partie sur les actions qui sont entreprises pour contrôler et contrer ce phénomène.
Et pour finir une conclusion sur cette histoire.
Considéré comme le plus grand désastre écologique du XXème siècle, la mer d'Aral située à cheval entre le Kazakhstan et l'Ouzbékistan a été victime d'un drame provoqué par l'homme laissant place aujourd'hui à un processus de désertification.
Les principales ressources en eaux de la région de l'Asie Centrale sont les fleuves Amou-Daria et Syr-Darya. Ils prennent leurs sources dans les montagnes du Kirghizstan et du Tadjikistan et se jettent dans la mer d'Aral.
Aujourd'hui la situation de la mer d'Aral se définit comme une catastrophe écologique. Elle représente l'une des plus grandes crises humaines dans toute l'histoire de l'humanité, puisque environ 35 millions de personnes peuplent le bassin de cette mer et se trouvent placées sous son influence. Depuis 20 ans, nous sommes témoins de la disparition de l'un des plus grands réservoirs d'eau du monde. L'histoire n'a jamais connu une telle situation : sous les yeux d'une seule génération disparaît toute une mer.
Autrefois la mer d'Aral était alimentée par les deux grands fleuves le Syr-Daria et l'Amou-Daria qui la maintenaient à un niveau stable.
Entre 1911 et 1962 la surface de la mer s'étendait sur 66 000 km2. La mer occupait alors une place centrale dans les domaines des transports, de l'industrie, de la pêche et également comme régulateur climatique.
Depuis le début des années 60, la mer d'Aral a perdu plus de 80% de sa superficie. L'environnement en est complètement bouleversé. Les côtes ont reculé de plus de 120 km à certains endroits, et la mer d'Aral s'est séparée en deux bassins, la Grande et la Petite Aral (...)
[...] Pour couronner le tout depuis l'effondrement de l'URSS, les services de santé publique sont quasiment inexistants. La situation est pitoyable. La population vivant de la pêche, le taux de chômages explose ! Pour empêcher cet assèchement total, de multiples projets ont été évoqués, dont le creusement d'un canal depuis la mer Caspienne ou le détournement des fleuves de Sibérie. L'Ouzbékistan et le Kazakhstan militent pour ranimer ce projet mais en réalité aujourd'hui, tout espoir de faire revenir la mer d'Aral à son niveau de 1960 semble abandonné, car irréaliste. [...]
[...] Entre 1911 et 1962 la surface de la mer s'étendait sur km2. La mer occupait alors une place centrale dans les domaines des transports, de l'industrie, de la pêche et également comme régulateur climatique. Depuis le début des années 60, la mer d'Aral a perdu plus de 80% de sa superficie. L'environnement en est complètement bouleversé. Les côtes ont reculé de plus de 120 km à certains endroits, et la mer d'Aral s'est séparée en deux bassins, la Grande et la Petite Aral. [...]
[...] La corruption, la soif de profit, de rendements est à l'origine de cela, les mentalités humaines sont déplorables et provoqueront notre perte. La relation entre l'Homme et son espace, et sa planète est primordiale à la survie de tous. Il faut s'adapter au milieu et vivre avec ses ressources et ces capacités. Le destin de l'humanité est d'après moi entre nos mains . [...]
[...] L'arrivée d'eau douce a réduit la salinité et les quelques unes des 24 espèces de poissons disparues de l'Aral, comme par exemple la carpe, sont réapparues. Pour pérenniser le projet, la Banque mondiale a accordé au gouvernement kazakh deux prêts, l'un en 2003 et l'autre en 2007, respectivement de 68 et 126 millions de dollars, pour la construction de deux barrages. Les autorités espèrent ainsi pouvoir remettre en eau le port d'Aralsk. Mais si la situation s'améliore du coté kazakh, du côté ouzbek la mer continue de se tarir. Les institutions internationales ont fourni à la population de l'eau saine et des équipements de santé. [...]
[...] Donc l'homme n'a fait qu'accélérer à grande vitesse le meurtre de la mer d'Aral. Par conséquent on observe: La formation des tempêtes de poussières : une étude de l'Académie des Sciences du Kazakhstan révèle que plus de 200 millions de tonnes de poussière chargées de pesticides par an sont soufflées sur la région de la mer d'Aral, avec pour conséquence de graves impacts sur la faune et la flore ; l'homme est donc concerné. La désertification des terres et les changements du climat et des paysages : le climat est devenu plus continental. [...]
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