Depuis 2007, la question de la place de la nature s'est fortement insérée au cœur du débat politique, depuis la candidature d'un certain Nicolas, mais Hulot celui-ci, ou par exemple de par la prééminence de certains acteurs fortement médiatiques comme José Bové, place qui révéla son importance au cœur de la société lors de la "victoire ", ou tout du moins la montée en puissance du parti des Verts lors des dernières élections européennes. Dès lors, force est de constater que cette préoccupation est tant nationale qu'européenne, mais plus généralement aussi mondiale, avec par exemple le problème de l'adoption du protocole de Kyoto par des pollueurs géants tels que la Chine ou les États-Unis, problème qui a été au cœur de la campagne électorale d'un autre président, Barack Obama.
Cette question de l'environnement que l'on retrouve au sein du débat politique internationalement semble donc être la preuve de l'importance des interrogations au sein des sociétés modernes vis-à-vis de la place de la nature dans le monde actuel, et dès lors la question de savoir quel rôle doit occuper l'Homme à travers ses comportements et ses activités dans les différentes considérations de la place de la nature.
La dichotomie entre les différentes orientations du terme de "politique environnementale " pose donc le problème suivant : peut-on établir une politique environnementale équilibrée, alliant économie et activités humaines, avec le nouveau terme de "développement durable " et une préservation de la Nature ? La préservation de la Nature est-elle réalité ou pure utopie ?
[...] L'Homme et les aires protégées, une lutte environnementale Dès lors qu'il a été établi qu'il n'y a plus de terres vierges sur Terre depuis la fin des voyages d'exploration de terra incognita, le concept de ‘'Nature'' s'avère problématique. Conquise par l'homme, reste t'elle pour autant naturelle, ou sa nature propre a-t-elle été corrompue par l'intervention de ce dernier ? Depuis 2007, la question de la place de la nature s'est fortement insérée au cœur du débat politique, depuis la candidature d'un certain Nicolas, mais Hulot celui-ci, ou par exemple de par la prééminence de certains acteurs fortement médiatiques comme José Bové, place qui révéla son importance au cœur de la société lors de la ‘'victoire'', ou tout du moins la montée en puissance du parti des Verts lors des dernières élections européennes. [...]
[...] Ainsi, c'est elle qui par exemple est à l'origine de la création des PNN. Mais ces diverses organisations internationales n'empêchent pas non plus des politiques bilatérales entre pays pour la protection de la nature. Citons dès lors les Transboundary Protected Areas, des espaces tels que le Rio Grande ou la Bande de Caprivi en Afrique australe, où les autorités de deux Etats s'allient ensemble dans une lutte pour la protection et la conservation d'espaces naturels. Plus généralement encore, les conventions internationales sont d'autres moyens d'expression de l'importance mondiale de la protection de la nature avec par exemple encore la création du réseau Natura 2000, de la convention Ramsar On voit dès lors que l'importance du nombre d'acteurs dédiés à la protection de la Nature révèle les enjeux que celle-ci représente. [...]
[...] La préservation de la Nature est-elle réalité ou pure utopie ? Nous étudierons ainsi dans une première partie la tentative de mise en place d'une politique environnementale efficace, avant d'en étudier les difficultés de réalisation dans une seconde partie et son impossibilité à l'heure actuelle. Cette préoccupation de la nature aboutit donc à des développements concrets découlant de la politique, dans la société globalisée. La place de la nature dans la société est en soi déjà une question complexe : Elle découle de différents contextes historiques ayant véhiculé jusqu'à nos jours idées et opinions jusqu'à aujourd'hui en fondant les mentalités actuelles. [...]
[...] Dès lors on envisage l'action humaine comme acteur de cette politique environnementale. Celui-ci intervient dans ce processus de protection de la nature et entreprend de mettre en place une série de mesures afin de protéger dame nature. Ces réalisations peuvent notamment prendre la forme d'aires protégées, sous-entendu des activités humaines, où la Nature est mise en avant, et où l'Homme lutte pour sa sauvegarde. Parfois entrevues comme des réserves de biosphère, garante de la bonne santé de la planète, ce sont avant tout des espaces particuliers : En mettant en place des structures, des règlementations sur des zones définies, l'action humaine vise à protéger la dégradation de ces espaces des activités humaines afin de les sauvegarder. [...]
[...] Dès lors, on a envisagé la nature comme une manne économique en elle-même dont on pouvait tirer des avantages. Ceci s'est concrétisé avec l'apparition d'une vision anthropocentrée de la nature, où l'homme prime sur celle-ci. Sont alors apparus des courants tels que l'utilitarisme, où il n'y a aucun souci de préservation de la nature, et où l'envisage comme un pur moyen, de même que le ressourcisme, qui prévoit un usage contrôlé de la nature afin d'en exploiter les ressources sur le long terme. [...]
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