Nous avons choisi d'organiser notre travail sur trois principaux axes, qui sont ; la présentation du volcan de notre recherche (le Mount St Helen), le risque que celui-ci présente et la façon dont est gérée ce risque naturel.
En effet, il nous semblait évident qu'avant de répondre à la problématique : Gestion du risque volcanique aux USA, volcan Mount St Helen, nous devions, tout d'abord, visualiser les caractéristiques et l'environnement de ce volcan, pour ensuite comprendre les risques que représentait ce dernier sur le terrain. Cela était alors plus aisé d'étudier la façon dont ce risque volcanique pouvait être géré.
Nous pensons que ce plan reflète, ce qui peut être réellement fait lors de la phase d'analyse, par un ingénieur en sécurité, sur le lieu d'un risque volcanique. C'est-à-dire qu'avant de pouvoir mettre en place tout un système de prévention, de protection et d'information il faut passer par une prise de connaissance du site.
[...] La rencontre avec un géologue, non spécifiquement propre à la région, aurait pu ici aussi nous aider dans notre démarche scientifique d'analyse des documents. [...]
[...] En 2004 : éruption effusive. L'activité sismique a augmenté localement dans le dôme dont une petite partie a sauté laissant s'échapper un panache de cendre et de vapeur. Cela est suivi par un affaiblissement de l'activité sismique. Par contre, le nouveau dôme se construit au sud : Le Mont Saint Helen est donc ainsi très surveillé. Quel risque présente ce volcan ? L'éruption volcanique est considérée comme un phénomène naturel extrême. Ce phénomène géologique peut engendrer des bouleversements économiques, sociaux et environnementaux. [...]
[...] Cela permet de comprendre l'échelle du risque. Dans notre exemple, l'échelle pouvait être seulement très localisée autour du volcan, mais pouvait également s'étendre à plusieurs kilomètres de là. Avec le vent, les nuées de cendre pouvaient s'étendre très loin et très haut créant même des problèmes pour les avions. De plus, la répétitivité de l'éruption doit être examinée afin de prévenir le risque. Les évènements géophysiques, comme l'éruption volcanique, sont considérés comme des phénomènes à dynamique plus faible que des évènements tels que l'inondation. [...]
[...] De plus, l'histoire de ce volcan nous montre que l'espace autour du volcan est sensible. C'est une zone où il y a la présence de zones inondables, de zones habitées. Il y a également des zones riches en faunes et en flores. Les dommages correspondant à l'intensité de l'événement retenu peuvent être considérés comme très importants. Il y en effet, la vulnérabilité physique des constructions, la vulnérabilité sociale et humaine (présence de populations (villes à 70km)) une vulnérabilité environnementale aussi non négligeable (présence de cerfs, élans, ours, forêts, lacs ) et aussi économique (par la perte de terrains cultivables par exemple) Le fait que l'aléa et la vulnérabilité sont loin d'être négligeables, le risque volcanique, dans cette région, provoqué par ce volcan Saint Helens est important. [...]
[...] Ce volcan se situe à 2549m d'altitude et est donc recouvert de neige et de glace. Les villes les plus proches sont à 70 km de celui-ci ; ce sont Portland et Vancouver. A son pied se situe un lac rempli de truites et des forêts. Sans parler des habitations. Le 20 mars 1980, après plus d'un siècle de non-activité, le volcan s'est réveillé. La montée du magma au sein du volcan a engendré des séismes (de magnitude 4 dans l'échelle de Richter). [...]
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