L'environnement s'attache à prouver les interactions entre l'Homme et la Nature. Actuellement de nombreuses problématiques se posent en relation avec l'impact de l'homme et de ses actions, notamment l'environnement naturel sur lequel nous avons décidé de nous appesantir. Plusieurs actions ont été engagées et sont de plus en plus nombreuses comme en témoigne le dernier sommet de Copenhague au cours duquel de nouvelles mesures radicales pour protéger l'environnement naturel devaient être prises. L'enjeu environnemental est mieux considéré par les politiques comme en atteste la création des ministères de l'Environnement dans les années 1970.
De nouvelles questions se posent sur la place de l'Homme dans l'environnement et les relations qui le lient à celui-ci. Le développement de l'environnement naturel au XXe siècle ne remet-il pas en cause la place de l'Homme dans son environnement ? Est-il envisageable de passer d'un anthropocentrisme à un écocentrisme ou procède-t-on juste à un simple rééquilibrage entre ces deux notions ?
L'Homme fut pendant longtemps au cœur des préoccupations, il a gagné sa place centrale, même si des effets négatifs de ses actions pour y arriver sont apparus. Toutefois, des signes d'une meilleure considération de l'environnement ne sont-ils pas visibles et ne risqueraient-ils pas d'attribuer à l'Homme un rôle secondaire ? Ne serait-ce pas à l'Homme de s'adapter à son environnement et non l'inverse ?
[...] Plus généralement, un citoyen est une personne qui relève de l'autorité et de la protection d'un État et ainsi jouit de droits civiques et a des devoirs envers cet État. Chaque citoyen exerce à sa façon la citoyenneté telle qu'elle est établie par les lois et intégrée dans l'ensemble des mœurs de la société à laquelle il appartient. C'est l'égalité de droits associée à la citoyenneté qui fonde le lien social dans la société démocratique moderne. Les citoyens d'une même nation forment une communauté politique. Le citoyen est un être éminemment politique (la cité) qui exprime non pas son intérêt individuel mais l'intérêt général. [...]
[...] Est-il envisageable de passer d'un anthropocentrisme à un écocentrisme ou procède-t-on juste à un simple rééquilibrage entre ces deux notions ? L'Homme fut pendant longtemps au cœur des préoccupations, il a gagné sa place centrale, même si des effets négatifs de ses actions pour y arriver sont apparus. Toutefois, des signes d'une meilleure considération de l'environnement ne sont-ils pas visibles et ne risqueraient-ils pas d'attribuer à l'Homme un rôle secondaire ? Ne serait-ce pas à l'Homme de s'adapter à son environnement et non l'inverse ? [...]
[...] L'environnement naturel est de plus en plus considéré et permet de réduire l'anthropocentrisme. Les Hommes ne sont plus au cœur de la Nature-mère mais n'en constituent plus qu'une partie parmi tant d'autres. L'éthique environnementale et l'écocentrisme qui intègrent les activités humaines dans l'environnement naturel se développent. Toutefois, la logique de protection de la nature ne met pas en exergue un conflit entre l'Homme et la nature mais permet plutôt de s'interroger sur l'environnement dans lequel l'Homme veut évoluer et vivre. [...]
[...] Les hindous ont également toujours été très proches de la Nature. Ils vénèrent tous les éléments naturels tels que les montagnes ou les forêts et considèrent la terre comme une déesse mère. Pour eux, tous les êtres humains, animaux et végétaux sont liés à l'univers alentour et éventuellement à la source même de toute existence : le dieu impersonnel Brahman qui représente plus de 330 millions de divinités. Le shintoïsme divinise aussi plusieurs éléments naturels comme le soleil, la lune ou encore les typhons. [...]
[...] Face à ces phénomènes inquiétants, le progrès technique ne paraît malheureusement pas en mesure de trouver des solutions. Alors qu'il est en train d'inventer la parade aux pollutions classiques (filtres pour émanations industrielles, substituts aux substances dangereuses), tel n'est pas le cas, en revanche, de l'augmentation des flux. Au contraire, c'est le progrès technique qui nous permet d'augmenter continuellement nos prélèvements sur la biosphère, et favorise la dégradation des biens communs tels que les ressources halieutiques et les ressources fossiles énergétiques. [...]
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