L'énergie est un problème très actuel. Nous en avons en permanence besoin, que ce soit pour produire de la chaleur ou de l'électricité. Or, les moyens utilisés jusqu'alors se trouvent généralement être des énergies fossiles ou nucléaires, nocives pour notre environnement.
L'utilisation de telles énergies a en effet de graves conséquences écologiques notamment à cause de la hausse constante du taux de CO2 rejeté dans l'atmosphère, qui engendre un effet de serre important à l'origine du réchauffement climatique de la Terre. C'est pourquoi depuis quelques années notre pays s'équipe de plus en plus en énergies renouvelables, généralement disponibles sur tout notre territoire contrairement aux énergies fossiles. De plus, ces énergies sont fiables, durables, inépuisables, gratuites mais aussi très peu polluantes.
Nous nous sommes interrogé sur la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique mondiale dans l'avenir et si elles peuvent être amenées à remplacer totalement les énergies fossiles. Nous exposerons dans un premier temps les différentes énergies qui sont les énergies fossiles et renouvelables ainsi que leur fonctionnement ; puis dans un second temps, les retombées des énergies renouvelables et la possibilité ou non de remplacer les énergies fossiles (...)
[...] Il faudrait taxer les énergies fossiles pour faciliter le développement et la progression de ces énergies nouvelles des énergies propres Il serait souhaitable d'y lier une économie et politique énergétiques surtout en tenant compte de l'énergie et de l'environnement entre autre dans les pays émergents du Tiers Monde. (doc 2. Mais aussi des contraintes à leur développement L'émergence des pays en développement et le gaspillage des énergies fossiles pose de sérieux problèmes pour l'avenir de l'énergie. Les énergies renouvelables sont donc susceptibles de pouvoir compléter puis remplacer les énergies fossiles. La consommation énergétique mondiale en 2050 devrait être environ trois fois plus importante qu'aujourd'hui. [...]
[...] C'est à partir de lundi prochain, le 2 mai, que la loi d'orientation sur l'énergie passera en deuxième lecture au Sénat. Son adoption définitive devrait avoir lieu avant la fin mai, malgré la controverse sur un texte qui engage la politique énergétique de la France pendant les trente prochaines années. Au cœur de la polémique, la faible part accordée aux énergies renouvelables. Certes, la loi va transposer la directive européenne qui, à l'horizon 2010, fixe à 21% le taux d'électricité devant être produite à partir d'énergies renouvelables, et à 12% celui de l'énergie totale. [...]
[...] Seuls 12,9% de l'électricité et de l'énergie produites sont "vertes" . Face à ces chiffres, le ministère délégué à l'Industrie se contente d'affirmer que la France tend vers ces objectifs et soutient que nous sommes le premier producteur d'énergie renouvelables de l'Union Européenne Ce n'est pas faux. Mais ce statut de leader est essentiellement dû à la production des grands barrages hydrauliques, dont le potentiel de croissance est quasiment nul. Pour le reste, la France est à la traîne par rapport à ses partenaires de l'UE et risque de ne pas profiter à plein des bénéfices du marché des énergies renouvelables, certes en gestation mais prometteur. [...]
[...] Pour rassembler les compétences, coordonner les efforts et favoriser les recherches concernant l'hydrogène et les composés hydrogénés, il est confié au ministère chargé de l'énergie, avec le concours de l'Institut français du pétrole, du Commissariat à l'énergie atomique et du Centre national de la recherche scientifique notamment, une mission spécifique sur ce sujet, conduisant à la publication d'un rapport annuel. L'effort de recherche global portant sur le développement des énergies renouvelables et la maîtrise de l'énergie est fortement accru au cours des trois ans qui suivent la publication de la présente loi. Article 6 Le quatrième axe de la politique énergétique vise à assurer des moyens de transport et de stockage de l'énergie adaptés aux besoins. [...]
[...] Ce développement doit tenir compte, d'une part, de la spécificité du parc français de production d'électricité, qui fait très peu appel aux énergies fossiles, de sorte que le développement des énergies renouvelables électriques est moins prégnant dans notre pays que chez certains de nos voisins, et, d'autre part, de la spécificité et de la maturité de chaque filière. En dépit de l'actuelle intermittence de certaines filières, les énergies renouvelables électriques contribuent à la sécurité d'approvisionnement et permettent de lutter contre l'effet de serre. Il convient donc d'atteindre l'objectif indicatif d'une production intérieure d'électricité d'origine renouvelable de de la consommation intérieure d'électricité totale à l'horizon 2010. Un objectif pour 2020 sera défini d'ici à 2010 en fonction du développement de ces énergies. [...]
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