Les experts climatiques s'accordent aujourd'hui pour dire que l'activité humaine contribue à l'augmentation de l'effet de serre, notamment par le recours croissant aux énergies fossiles.
[...] Les raisons en sont discutées. L'article examine les méthodes de récupération du pétrole thermique et non thermique. Elles sont présentées de façon équilibrée, en prenant en compte le succès commercial sur le terrain. Seules quelques méthodes de récupération ont connu une réussite commerciale, tels que les processus d'injection de vapeur dans les pétroles lourds et les sables bitumineux (si le réservoir offre des conditions favorables pour de telles applications) et de dioxyde de carbone miscible pour les réservoirs de pétrole léger. [...]
[...] Cas de SLEIPNER (NORVEGE) Le stockage dans les aquifères salins. Localisés dans les bassins sédimentaires, ces aquifères sont nombreux et peuvent avoir des superficies de plusieurs milliers de km2. Ils peuvent être offshore (en mer) ou onshore (à terre). Constitués de roches poreuses et perméables souvent gorgées d'eau salée impropre à la consommation, ces aquifères, lorsqu'ils sont suffisamment profonds 800 mètres) et recouverts de couches imperméables pourraient être utilisés pour stocker d'importantes quantités de CO Mais de nombreux travaux doivent encore être menés pour mieux connaître ces aquifères. [...]
[...] Il s'avère que ce n'est pas le cas. De nombreux réservoirs adaptés à l'injection de vapeur et au dioxyde de carbone ont déjà été exploités et arrivent à maturité. D'autres méthodes EOR rencontrent des limites qui ne sont pas liées à des facteurs économiques. La récupération du pétrole supplémentaire est complexe et coûteuse, et s'est révélé probante seulement pour quelques processus et ce, dans des conditions astreignantes. Néanmoins, l'EOR continuera d'avoir une place importante dans la production pétrolière, en raison de l'intensification de la demande en énergie et de l'offre limitée. [...]
[...] Ce champ de gaz est aujourd'hui presque épuisé. Le site a été retenu début 2002 parmi trois propositions à l'issue d'un appel à projets lancé par le ministère de l'Economie hollandais dans le cadre de son programme national CRUST (CO2 ReUse through Underground Storage). La capacité estimée du réservoir est de 8 Mt de CO2, à un taux d'injection de l'ordre de t/an, soit 20 ans d'opération et l'équivalent d'environ des émissions industrielles hollandaises. L'injection se fait par des puits existants. [...]
[...] Des références clés sont indiquées. Dans le cadre du projet Gassi Touil, l'exploitation séquentielle des gisements de Rhourde Nouss et de Gassi Touil devrait permettre d'obtenir un gaz commercial avec des spécifications de CO2 2%. Dans le futur proche, la séquestration du CO2 sera soit une nécessité pour la SONATRACH, soit un business conséquent dans le monde. Dans une première étape, le CO2 sera utilisé dans les projets E.O.R potentiels dans le bassin d'Illizi, quitte à développer un réseau de transport, somme toute modeste, pour mobiliser les volumes existants à Tiguentourine,Alrar,et Ohanet . [...]
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