En plus de ces effets destructeurs, la bombe atomique a une action biologique sur les humains.
Ces effets biologiques peuvent être immédiats (comme les effets mécaniques et thermiques) ou secondaires à cause des produits de fission et des radio-isotopes émis au moment de l'explosion. En fait plus la personne est proche du point d'impact de la bombe plus ses lésions seront graves et précoces (...)
[...] Ces effets biologiques peuvent être immédiats (comme les effets mécaniques et thermiques) ou secondaires à cause des produits de fission et des radio- isotopes émis au moment de l'explosion. En fait plus la personne est proche du point d'impact de la bombe plus ses lésions seront graves et précoces. A court terme, les personnes se situant a moins d'un km de l'impact de la bombe (appelé hypocentre) sont victimes d'ulcérations muqueuses et de modifications hématologiques entraînant la mort dans un bref délai. [...]
[...] Pour la bombe les poussières radio-actives produites par l'explosion pénètrent dans l'organisme par voies respiratoires, digestives ou cutanées et provoquent le même type de lésions. A long termes il peut se manifester chez les survivants un cancer à différents endroits du corps. On observe par exemple une augmentation anormale du nombre de cancer dans tous les domaines (à l'exception du cancer de l'utérus) chez les survivants de la bombe d'Hiroshima quarante ans après. Les bombes atomiques ont donc des effets dévastateurs autant pour l'environnement et les constructions que pour les humains et ces effets se présentent aussi bien à court terme qu'à long terme. [...]
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