Lorsqu'au XIXe, notre société s'est industrialisée de façon massive, la planète savait qu'elle ne tiendrait plus longtemps. A la vue de ces immenses cheminées crachant jour et nuit une fumée d'un noir sombre et opaque, la vision d'une société qui change complètement le visage d'un monde autrefois paisible et sain est devenue réalité.
Aujourd'hui, malgré des progrès technologiques de plus en plus intenses et d'apparence indispensable à notre quotidien, telle la voiture, sujet qui nous occupe aujourd'hui, la planète est en péril et nous autres citoyens en sommes responsables pour une bonne part.
La voiture est aujourd'hui le moyen de locomotion le plus utilisé dans le monde. Malheureusement la prolifération de ces voitures et les gaz d'échappement, cibles de nombreuses actions écologiques aujourd'hui, sont de réels problèmes pour une société de plus en plus mobile.
Malgré la montée des prix de l'énergie d'origine fossile, les solutions annexes qui vont être abordées dans ce dossier ne sont pas encore élaborées et la plupart ne seront sans doute jamais aussi performantes que cette énergie fossile dont les réserves disparaissent.
Pour réaliser ce travail interdisciplinaire, il nous a été demandé de nous attaquer à ce problème qui déchaîne la presse aussi bien nationale qu'internationale : les biocarburants.
A travers une approche théorique et quelques tentatives expérimentales en laboratoire, nous tenterons de vous illustrer les soucis causés par cette recherche de sources d'énergie de remplacement qui présentent malgré leurs défauts quelques avantages indiscutables pour l'avenir de notre chère et belle planète.
[...] Le Brésil, pour sa part, totalise une production de 15,5 milliards de litres pour la même année. Les principaux producteurs européens sont l'Espagne, la France et la Suède pour une production annuelle de 900'000 litres seulement. Suite à la hausse impressionnante du baril de pétrole, la production de biocarburants devient malgré tout extrêmement lucrative L'avenir Un monde futur fonctionnant uniquement à l'aide de biocarburants entraînerait la destruction quasi certaine de notre écosystème. Si dans un avenir proche nous consacrions l'essentiel de nos cultures aux biocarburants, les conséquences pourraient être terribles. [...]
[...] La solution de baryum a alors blanchi, signe que du CO2 a bien interagi avec le liquide. Retirer le dispositif, récupérer les cendres ainsi que le liquide résultant de la réaction chimique. Peser les cendres restantes Filtrer le liquide blanchâtre dans le but d'en mesurer la quantité de carbonate puis le placer à l'étuve quelques jours dans le but d'obtenir une poudre blanchâtre parfaitement sèche Peser la matière obtenue puis replacer la dans l'équation de la réaction chimique Résultat Après combustion, un résidu constitué de cendres est présent au fond de notre récipient pour un poids total de 0.529 g. [...]
[...] En effet, les huiles végétales se figent entre et ce qui pose un problème pour les pays nordiques. Cependant, des solutions existent pour contrer ce genre de problèmes, notamment la possibilité d'équiper les véhicules de réservoirs chauffants. Une solution crédible serait aussi d'élaborer le démarrage avec du gasoil ou des méthyl-esters. Aujourd'hui, nos véhicules ne sont donc pas capables d'utiliser l'huile dans toutes les conditions atmosphériques. Le colza et le tournesol sont les deux principales plantes utilisées pour la fabrication de biocarburant. [...]
[...] Deuxièmement, plus inquiétant encore, est le fait que si l'être humain cessait tous les rejets de carbone, la température moyenne continuerait d'augmenter La couche d'ozone La couche d'ozone est également indispensable à notre survie. Elle filtre les rayons ultraviolets émis par le soleil. Nous distinguons deux types d'ozone, le bon et le mauvais Le premier cité est celui qui officie en tant que filtre alors que le second, situé jusqu'à vingt kilomètres du sol est toxique à la respiration. La couche d'ozone se forme à partir du dioxygène. Le rayonnement solaire possède assez d'énergie afin de casser les liens entre les molécules d'oxygène. [...]
[...] Le biodiesel quant à lui est un dérivé d'huile végétale. En effet, son huile est généralement obtenue avec des méthodes plus industrielles (solvants) et subit une estérification. Cette mixture, mélangée à un catalyseur (généralement de la soude) et à de l'alcool génère un méthyl- ester et du glycérol. Ensuite, ces différents composants sont séparés à l'aide d'une centrifugeuse pour obtenir ce qu'on appelle du Biodiesel Ce biocarburant ne pose aucun problème lors de sa consommation. Cependant, il est rarement utilisé à 100%, mais plutôt mélangé à du diesel. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture