Besoins alimentaires mondiaux, changement climatique, alimentation, gaz à effet de serre, déséquilibres écologiques, Bruno Parmentier, Monsieur Dufumier
Retour sur la conférence de Monsieur Bruno Parmentier à l'Université Technologique de Troyes en Novembre 2014.
Monsieur Marc Dufumier est quant à lui Agronome, auteur de : Famine du sud, mal bouffe au nord, comment le bio peut nous sauver.
Nous avons pu comprendre que la production alimentaire était suffisante pour nourrir le monde dans sa globalité, il n'y aurait donc pas de cas de mal nutrition, cependant la répartition des denrées alimentaires est tellement peu égalitaire que cela cause les problèmes de mal nutrition, de maladies, de victimes de la faim que nous connaissons encore aujourd'hui.
[...] Cependant même si l'agriculture émet des Gaz à Effet de Serre, il faudrait les transports alimentaires via les camions par exemple qui produisent d'importantes émissions de dioxyde de carbone. Enfin, produire pour produire en grande quantité et satisfaire un très grand nombre de possibilités possibles quant au choix de son alimentation n'est-il pas forcer dans une certaine mesure au gaspillage ? Ne serait-il pas envisageable d'éduquer les jeunes consommateurs ainsi que les moins jeunes afin de les sensibiliser de plus en plus à ce changement climatique manifeste ? [...]
[...] Il propose une limitation du libre échange qui met en concurrence les petits producteurs et les grandes firmes transnationales (FTN) pour privilégier une production locale et les circuits courts. Il évoque comme Bruno Parmentier, un changement au niveau de notre alimentation. Seulement Monsieur Dufumier met l'accent sur le local alors que Monsieur Parmentier prône un changement considérable de notre régime alimentaire. Marc Dufumier s'intéresse principalement aux denrées produites et aux besoins de la population mondiale au niveau de son alimentation. [...]
[...] Manger moins de viande, car cette production crée des déséquilibres écologiques et favoriser les légumineuses riches en protéines et les viandes maigres serait selon certains spécialistes un bon compromis pour pallier en partie à ces déséquilibres. Enfin un manque de nourriture et une augmentation de la température risquent d'accroître les conflits. II. Vous avez également vu la vidéo conférence de Monsieur Marc Dufumier, quelles différences, quelles similitudes dans le contenu et dans les constats faits et dans les propositions par rapport à celle de Monsieur Parmentier ? Bruno Parmentier redéfinit le changement climatique. Depuis très longtemps la température, le climat n'a cessé de se réchauffer. [...]
[...] Il cherche à prôner l'agriculture raisonnée et protectrice des sols. Bruno Parmentier accentue le fait que la régulation des Gaz à Effet de Serre et cette modification au niveau des cultures, ces deux facteurs associés, pourraient nous permettre de nous adapter et de minimiser les conséquences de ce réchauffement climatique. III. Au niveau des constats et des propositions présentés par Monsieur Parmentier, quelles critiques, quelles autres propositions feriez- vous ? Certaines propositions telles que manger moins de viandes dites rouges et favoriser les viandes maigres relève de l'individualisme et ne peut être réellement contrôlée en aval, il faut donc un net retrait de la production de viandes rouges. [...]
[...] Les besoins alimentaires mondiaux et le changement climatique Retour sur la conférence de Monsieur Bruno Parmentier à l'Université Technologique de Troyes en novembre 2014. Monsieur Marc Dufumier est quant à lui Agronome, auteur de Famine du sud, mal bouffe au nord, comment le bio peut nous sauver I. Rappeler les principaux éléments qui composent cette problématique, tant du point de vue climatique que du point de vue alimentation : Nous avons pu comprendre que la production alimentaire était suffisante pour nourrir le monde dans sa globalité, il n'y aurait donc pas de cas de mal nutrition, cependant la répartition des denrées alimentaires est tellement peu égalitaire que cela cause les problèmes de mal nutrition, de maladies, de victimes de la faim que nous connaissons encore aujourd'hui. [...]
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