Chaque année, les catastrophes naturelles causent plusieurs millions de dégâts matériels et provoquent la mort de milliers de personnes dans le monde. Les médias nous font remarquer que les catastrophes naturelles n'épargnent personne, tout le monde semble être concerné, aucun pays n'y échappe.
Tous les ans le bilan est lourd, les statistiques nous révèlent autant de pertes humaines que de pertes matérielles. Quand la nature fait ses caprices, on le paie cher : avalanches, cyclones, tempêtes, éruptions volcaniques, ouragans, inondations, tornades, tremblements de terre, autant de menaces qui pèsent sur la planète ! En outre, les pertes économiques engendrées par les catastrophes naturelles accentuent la pauvreté d'un pays en voie de développement car la restructuration coûte très cher à leur économie.
[...] On peut donc s'attendre à des étés plus caniculaires, à des hivers plus glacials, à l'abondance des pluies, à des cyclones de très forte intensité et à la prolongation des sècheresses. L'accumulation de tous ces évènements nous indique que la situation est dramatique et qu'on est face à une exacerbation des risques du réchauffement climatique. Nous savons que les risques des catastrophes naturelles sont désormais désastreux, et qu'il faut s'attendre au pire. Mais sait-on exactement qui en est à l'origine ? [...]
[...] De plus, même si ces appareils sont sophistiqués les résultats peuvent parfois être mal interprétés. On peut dire que certaines catastrophes naturelles peuvent être devancées, mais on espère que les progrès scientifiques de demain nous permettront de déceler à temps toutes les catastrophes naturelles, et ce, dans tous les pays du monde entier. Les pays du G8 ont signé le Protocole de Kyoto et s'engagent à en respecter les termes. A première vue, le protocole de Kyoto semble être la solution idéale, mais beaucoup de scientifiques et associations écologiques n'en sont pas encore satisfaits. [...]
[...] Tous les scientifiques du monde entier sont unanimes : le trou dans la couche d'ozone continue à s'élargir, ce qui n'est pas du tout bon signe. Au contraire, cela indique que la situation s'empire : Comment allons-nous faire si la seule protection que nous avons contre les rayonnements ultraviolets venait à disparaître ? On peut dire qu'on connaît les impacts des catastrophes naturelles, mais sommes-nous vraiment conscients de leurs ampleurs ? Sait-on que les chiffres sont de plus en plus alarmants ? Sait-on que les données sont de pire en pire ? [...]
[...] Pour le cas de Madagascar par exemple, il se forme de 9 à 12 cyclones chaque année, mais de façon générale 4 seulement arrivent à atteindre la terre. Le cas de deux catastrophes liées entre elles n'est pas un cas isolé. En effet, il arrive que parfois, une catastrophe en entraîne une autre. Un tremblement de terre d'origine marine est directement associé au tsunami. Les typhons entraînent des inondations, des glissements de terrain et sont aussi à l'origine des éboulements. [...]
[...] Même si des mesures ont été prises, elles semblent être insuffisantes et surtout provisoires. Les catastrophes se distinguent par leurs causes c'est-à-dire elles sont soit d'origine naturelle soit liées aux activités de l'homme. Mais quelle que soit son origine ce qui est primordial c'est d'essayer de les détecter à temps afin de limiter les dégâts. Avec des matériels adéquats, des scientifiques bien formés, une bonne organisation et une révision des termes du protocole de Kyoto, nous nous sentirons moins impuissants face aux menaces des catastrophes naturelles. [...]
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