La pollution de l'air existait déjà dans les conditions de la vie des hommes à l'état naturel du fait du déplacement des poussières et du pollen par les vents et les orages des émanations et des éruptions volcaniques. ( BARNEA et URSU, 1974).
Avec l'utilisation domestique du feu est apparue la pollution due à la fumée et aux gaz de combustion qui ont produits certaines perturbations, incommodités et même désintoxications telles qu'elles rencontrent encore de majeures, quoi que dans des
conditions relativement limitées et accidentelles.
L'utilisation industrielle du feu à l'époque du fer et du bronze a ajoutée aux impuretés de l'air produites par la combustion celle provenant de la fusions et du raffinage des métaux.
L'intensification de l'utilisation du charbon de terre, qui a commencé au moyen-âge, a conduit à une aggravation de la pollution de l'air qui s'est étendue à des quartiers et des localités entières.
L'industrialisation et l'urbanisation continues de notre siècle ont intensifiées la pollution de l'air. Jusqu'à cette époque, la législation de la protection de l'air contre les impuretés provenant des poussières et des gaz ne fixaient pas de précipitations précises les mesures générales de prévention et de lutte étaient incluses, soit dans le cadre de loi plus vaste, soit dans des ordonnances
locales de certaines municipalités.
Récemment, aux états unis ainsi que dans d'autres pays au trafic routier intense ont été introduites et fixaient les limites pour les évacuations de gaz nocifs provenant des échappements de véhicules.
L'organisation mondiale de la santé a patronné depuis 1957 une série d'actions, élaborées des travaux sous forme de rapports techniques, mono-graphiques.
Les implications de premier ordre sont celles qui se réfèrent à l'écologie humaine et particulièrement aux intoxications aiguës en masse.
Les risques de cette sorte, apparus il y a environ un siècle, s'étendant et s'aggravant jusqu'à nos jours n'ont pu être vaincus, malgré les efforts considérables de recherches, organisations et équipements techniques qui ont été fait (DUSSART, 1979).
[...] Les différents polluants peuvent être classé de la manière suivante : (MONNIER et AL, 1980). Gaz ou une substance inorganique : Dérivé oxygénés de soufre : Dioxyde et trioxyde de soufre, acide sulfurique, sulfates. Déri vés o x yg énés d e l'az ote : Oxyd e d ' azote, aci des nit riq ues et nit r eu x. Monoxyde et dioxyde de carbone Polluant inorganique d'autre origines : Dérivées du plomb, hydrogène, sulfure, ammoniac, chlore, chlorure, acide fluorhydrique, fluorures. [...]
[...] Le rayonnement d'un polluant dans un milieu peut être suivi de phénomène de contamination et de bioaccumulation . On peut citer comme pollutions naturelles : Des marécages putrides qui favorisent la prolifération de vecteurs de maladies (moustiques). L'éruption d'un volcan qui disperse des quantités très importantes de poussières. Ces polluants présentes : Une contribution à l'effet de serre. Une limitation de rendement de la photosynthèse du fait de l'absorption de l'énergie solaire. Principales causes de la pollution atmosphérique Cinq causes déterminantes et incontournables peuvent être énumérées pour cerner l'aspect fondamental de la pollution. Accroissement de la population. [...]
[...] Le dioxyde de soufre : Le soufre est un gaz incolore d'odeur piquante très irritante détectable à partir de 03 ppm. Il provient essentiellement de la combustion des combustibles fossiles contenant du soufre (fuel et charbon), d'autres émetteurs additionnent leurs effets tels les industries et les chauffages domestiques (par exemple : La combustion d'une tonne de fuel lourd de qualité moyenne en voie 50 Kg de SO2 dans l'atmosphère). Les véhicules à essence rejettent peu de SO 2 pur contre des véhicules à diesels qui en rejettent d'avantages. [...]
[...] Les oxydes volatiles : Oxyde nitreux NO2, oxydes azotique NO et dioxyde NO2 sont des constituants normaux de l'atmosphère où ils proviennent du volcanisme et des orages ainsi que pour le premier, des activités bactériennes en sol mal aéré, la teneur en NO2, non toxique est alors de l'ordre de 300 pg par m3. Elle en NO et NO2, très toxique, de 10 à 20 pg par m3. Mais par combustion à haute température des fuels et de l'essence, les gaz d'échappement des moteurs émettent de l'oxyde azotique qui se transforme rapidement en dioxyde particulièrement à la lumière en présence d'hydrocarbures. [...]
[...] Les risques de cette sorte, apparus il y a environ un siècle, s'étendant et s'aggravant jusqu'à nos jours n'ont pu être vaincus, malgré les efforts considérables de recherches, organisations et équipements techniques qui ont été fait (DUSSART, 1979). Qu'est ce que la pollution ? La pollution est une altération artificielle ou naturelle d'un milieu en équilibre en perturbant partiellement ou en totalité sa composition ou son fonctionnement. Ils existent des pollutions naturelles et d'autres dues à l'homme. On distingue aussi les pollutions accidentelles et les pollutions chroniques. [...]
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