Cours basé sur les travaux de l'AIE (agence internationale de l'énergie). Occupe une position médiane quant à l'analyse du dossier énergétique.
Comment a évolué le BEM (bilan énergétique mondial) depuis 40 ans, la part des différentes énergies primaires (= n'ont pas subi de transformation) dans la consommation mondiale de l'énergie ?
Actuellement ce bilan se compose de :
- 27% de charbon,
- 32% de pétrole,
- 21,5% de gaz naturels.
Ce sont des ressources finies. Un jour, elles n'existeront plus. De plus, elles sont carbonatées.
Le monde a donc besoin de 80% environ d'énergies fossiles fortement carbonatées. En 1972, ce taux était de 91%. Le nucléaire a pris de l'importance entre ces deux périodes.
[...] Sont très polluants. Permets d'augmenter les réserves et faire diminuer la pression sur les prix. Le Canada a fait savoir qu'il ne participerait pas à Kyoto II. II. Le nucléaire est-il une alternative crédible ? Dois être anticipé sur le long terme. Entre 2020 et 2030, on doit penser à d'autres ressources. A. La problématique La production d'électricité primaire se fait à partir du nucléaire et de l'hydraulique replis des énergies fossiles. Le développement économique engendre une augmentation de la consommation d'électricité. [...]
[...] Quelles énergies pour le développement économique ? Cours basé sur les travaux de l'AIE (agence internationale de l'énergie). Occupe une position médiane quant à l'analyse du dossier énergétique. Comment a évolué le BEM (bilan énergétique mondial) depuis 40 ans, la part des différentes énergies primaires n'ont pas subi de transformation) dans la consommation mondiale de l'énergie ? Actuellement ce bilan se compose de : 27% de charbon 32% de pétrole 21,5% de gaz naturels Ce sont des ressources finies. Un jour, elles n'existeront plus. [...]
[...] B. Le gaz naturel, un produit d'avenir a. Les atouts du gaz Permet de réduire de 60% les émissions de CO2 pour fabriquer de l'électricité (usage de centrale simple) Développement depuis une 20aine, des centrales à cycle combiné. Le gaz est utilisé pour produire du mouvement et de la chaleur. Production de 35% de plus d'électricité avec la même quantité de gaz. Amélioration de la rentabilité des centrales au gaz. Émission de gaz carboniques en baisse. Sert aux énergies relais. [...]
[...] La Chine joue en plus sur la concurrence EDF/Areva. La coopération avec l'Inde est moins dangereuse, plus prometteuse. Déficit commercial français qui provient de 88% de l'énergie. C. Les critiques persistantes a. Des considérations globales Le risque de prolifération nucléaire de bombe atomique : 3 sites retraitent l'uranium : La France La Grande Bretagne Le Japon Ces 3 sites ne sont pas les seuls au monde. Il y a la Chine, la Russie ou encore l'Inde. Le risque de prolifération nucléaire militaire : TNP (traité sur la non- prolifération des armes nucléaires), signé par la quasi-totalité des grandes puissances possédant la bombe atomique engagements : ne pas la fournir à ceux qui ne l'ont pas ne pas chercher à s'en doter si on la possède 3 ne l'ont pas signé (Inde, Pakistan et Israël). [...]
[...] Bilan Le nucléaire se développera dans le monde, mais dans très peu de pays, car il produit de l'électricité qui ne se stocke pas. Il doit couter moins cher, il faut une population nombreuse et solvable. Pas une solution pour les PMA, le Tiers-Monde. Aujourd'hui, il concerne des États forts, très structurés. Les pays développés ont beaucoup de difficulté à s'en passer (comme le Japon). Areva, aujourd'hui, malgré la baisse de ses constructions, continue à dépenser dans le domaine de la recherche. III. Quelle place pour les énergies renouvelables ? [...]
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