Le plein s’il vous plait ! Solution au problème de l’énergie - Jean-Marc Jancovici et Alain Grandjean

Résumé du document

Dans cette partie, l'auteur met en avant les capacités des hydrocarbures en les comparants au travail humain ou animal (cheval). Il parle de la dépendance que nous avons envers ces derniers qui nous ont facilité la vie et le travail. Il compare aussi notre situation de vie actuelle à celle du Moyen-Age : il compare un ouvrier modeste de notre époque à un seigneur de 1400 et nous fait remarquer que l'ouvrier vit mieux qu'un seigneur, car ce dernier peut vivre dans le luxe toute sa vie, il vivra quand même moins longtemps. À la fin de cette partie, il souligne que ces hydrocarbures nous ont amené à ce que nous sommes aujourd'hui, c'est-à-dire des citoyens avec un confort, une bonne situation sanitaire, une bonne condition de vie, etc. Il explique également que si un jour les ressources venaient à s'épuiser, nous pourrions revenir plusieurs siècles en arrière.

Extraits

[...] Ensuite on se dit que nos responsables politiques réagiraient si le problème était si grave. Seulement tout n'est pas si simple. À l'heure actuelle, nous allons droit au mur. Il dit que le processus exponentiel d'émissions de CO2 va s'arrêter un jour, car celui-ci vient de stocks finis. Pour le réchauffement climatique et la crise énergétique, il faudra commencer par taxer progressivement l'énergie dans le but de freiner la consommation d'hydrocarbures et donc la pression de l'homme sur son environnement. [...]

[...] Jean-Marc Jancovici et Alain Grandjean Introduction : Le plein s'il vous plaît : la solution au problème de l'énergie, un livre de Jean-Marc Jancovici et Alain Grandjean. Les raisons qui m'ont poussé à choisir ce livre est que le problème énoncé est d'ordre du jour et nous concerne particulièrement nous, la nouvelle génération. L'auteur parle dans son livre de beaucoup des problèmes rencontrés face aux énergies fossiles tels le pétrole, le charbon ou le gaz. De plus il lie tous les problèmes rencontrés les uns aux autres comme l'utilisation massive du pétrole à une pénurie ou encore au réchauffement climatique. [...]

[...] Mais leur job est de représenter le peuple et de sauvegarder la démocratie. L'illusion médiatique Dans ce chapitre, l'auteur parle de l'influence des médias et des informations véhiculées par ceux-ci. Les médias sont corrompus : ils parlent d'un sujet en détail, ils interviewent les mauvaises personnes qui n'ont pas les connaissances parfaites pour répondre à un sujet comme le changement climatique, ils ne donnent pas les vraies informations, car les scientifiques ne sont pas d'accord entre eux ou ont l'obligation de ne pas révéler ce qu'ils savent Et donc nous, citoyens, nous avons mauvaise connaissance de ce qu'il se passe réellement au niveau du climat, du pétrole, etc. [...]

[...] L'auteur se manifeste contre ces objections en disant qu'alors si on payait moins d'impôts et de charges il faudrait que l'on accepte d'avoir moins de médecins, de policiers et de routes La compétitivité démasquée Dans ce chapitre l'auteur dit que la taxe ne nuira en rien la compétitivité des entreprises comme certains le prétendent, car quoi que l'on face rien ne lui sera désagréable. Il donne un argument en se servant de l'histoire. Lorsque l'on parlait de l'abolition de l'esclavage, beaucoup de personnes disaient que ça allait nuire à la compétitivité et à la production. Montesquieu n'approuva pas. Il est vrai que l'exploitation humaine et le travail forcé sont des facteurs de bonne santé de l'économie. Comment s'en passer ? [...]

[...] Seulement la subvention vide les caisses de l'état, tandis que la taxe les remplit. Si les prix pour les combustibles fossiles ne changent pas, il n'y aura pas d'orientation différente dans la consommation, pas de progrès dans le renouvelable Ensuite, il dit que la taxe est préférable, car elle donne un prix aux dommages collatéraux et qu'elle fixe un prix sur la tonne de CO2 émis, contrairement au protocole de Kyoto, qui lui, donne un quota de CO2 par pays et par année, mais chaque quota peut être revendu à une autre entreprise plus polluante. [...]