De plus, il n'a pas pris en compte ma demande, pourtant légitime et justifiée, d'effectuer des recherches afin d'élucider ce fâcheux malentendu. Après m'avoir vaguement avisée qu'il serait dans l'impossibilité de trouver plus amples renseignements sur ce chèque (...)
[...] Il ne tient qu'à vous de me le démontrer à travers plusieurs mesures. La première coule de source et comprend l'annulation de mon interdiction bancaire et le remboursement, ou la suppression, de tous les éventuels frais se rapportant à cette sombre affaire. La deuxième fait office de geste commercial réparateur, mais n'en contient pas moins un caractère crucial : m'offrir en guise de dommages et intérêts la valeur de ce chèque réclamée avec tant d'insistance et d'indécence. Vous souhaitant bonne réception de la présente je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l'expression de ma considération la plus pertinente. [...]
[...] Aujourd'hui je mesure amèrement les conséquences de sa légèreté face à mon embarras profond, laquelle doit aussi être imputée à votre service en général puisque ce manquement au devoir de sa charge semblait découler d'une concrète impossibilité. Ma contestation me vaut une interdiction bancaire établie par la banque de France, sans aucune explication supplémentaire. A croire que ma réclamation ait été occultée, ou qu'elle ne soit remontée vers aucune hiérarchie en vue d'une analyse moins évasive. Monsieur, outre la vexation que je ressens devant un traitement aussi injuste et diffamant, j'éprouve une indignation allant jusqu'à bouleverser ma vision de l'image dont, depuis plusieurs années fidèles, je croyais le . [...]
[...] Objet : Réclamation. Madame, Monsieur, je soussignée, Mme souhaiterais éclaircir une situation à laquelle je suis confrontée par la négligence intolérable d'un des employés de votre agence, dont les conséquences me font douter du sérieux qu'une clientèle devrait vous prêter. En effet, j'ai été informée par ledit employé qu'un de mes soi-disant chèques émis sans provision en d'une valeur approximative de 100 euros, venait comme par enchantement de faire surface dans le sillage de vos impayés à traiter. Ce monsieur m'a donc invitée à en régler le montant dans les plus brefs délais pour boucler définitivement ce dossier, sans oublier de m'énumérer les pénalités qui s'ensuivraient en cas de refus de paiement. [...]
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