Casablanca, Mohammedia, Maroc, taxi, conduite, code de la route, transport
Le nombre des petits taxis qui sillonnent Mohammedia sur une superficie de 34 km2 est de 496, celui des grands taxis avoisine les 364. Ce n'est pas le nombre des taxis qui surprend, c'est plutôt l'état des véhicules. Être conducteur de taxi est une activité de service exigeante qui s'exerce souvent dans des conditions difficiles : travail de jour et de nuit, weekends, jours fériés. En plus, d'autres facteurs sont à confronter notamment l'état des routes. Selon les sources de la municipalité la plupart des petits taxis, n'ont pas subi de visites techniques depuis 3 ans. Pourtant, une circulaire du ministère du Transport oblige ces moyens de transport urbain à subir une visite technique annuelle auprès des centres techniques agréés.
[...] Le manque d'hygiène, l'état inconfortable des sièges et les comportements de certains chauffeurs des taxis sont inacceptables. Les chauffeurs de taxis sont détenteurs d'un permis dit de confiance et sont supposés respecter les règles qui le régissent notamment la bonne tenue. Plusieurs clients se plaignent d'avoir à supporter une fois à bord des personnes en état d'ébriété, d'où la nécessité de contrôles et de mesures adéquates à l'encontre des conducteurs récalcitrants et non respectueux du code de la route. Apprendre à conduire devient donc un travail quotidien. [...]
[...] Le nombre des petits taxis qui sillonnent Mohammedia sur une superficie de 34 km2 est de 496, celui des grands taxis avoisine les 364. Ce n'est pas le nombre des taxis qui surprend, c'est plutôt l'état des véhicules. Être conducteur de taxi est une activité de service exigeante qui s'exerce souvent dans des conditions difficiles : travail de jour et de nuit, weekends, jours fériés. En plus, d'autres facteurs sont à confronter notamment l'état des routes. Selon les sources de la municipalité la plupart des petits taxis, n'ont pas subi de visites techniques depuis 3 ans. [...]
[...] D'autre part, un projet de code de la route avait été à nouveau soumis au parlement pour procéder aux changements réclamés par les chauffeurs de taxis, les chauffeurs de bus et les autres catégories exerçant leurs professions en milieu routier. Ce projet désormais adopté par la chambre des conseillers présente un changement majeur dans la recherche de la responsabilité. Les sanctions en cas d'accident. La nouvelle mouture, selon Mr. Ghellab, ministre des transports permet la poursuite des responsables effectifs de l'accident. Petit taxi modèle Fiat Uno a' en répandu à Mohammedia. [...]
[...] Il faut dire que les conducteurs des taxis et bus sont toujours pointés du doigt. Mis à part le respect du code de la route, il y a eu 10 retraits pour d'autres infractions allant de 8 à 10 jours. Le permis de confiance obéit à des conditions que les chauffeurs ne sont pas censés ignorer. L'attribution de ce permis exige un niveau d'instruction équivalent à la 3e année. Le chauffeur doit être âgé de moins de 45 ans et subir un stage de formation auprès des centres de formation professionnelle. [...]
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