Analyse du livre de Las Casas : Très brève relation de la destruction des Indes dans le cadre d'un travail en Première (spécialité Humanité) qui témoigne des atrocités sur les indiens ainsi que du point de vue de l'auteur.
[...] Par ailleurs, les actions des Espagnoles sur ces îles avec comme but d'assouvir la soif de meurtre et de faire du mal puis de pouvoir s'enrichir en pillant les cultures construites montre l'inhumanité que ce groupe pouvait avoir face à un groupe étranger comparé à le leur. [...]
[...] Analyse de la lecture : Las Casas, Très brève relation de la destruction des Indes Quelles sont les atrocités dont témoigne Las Casas ? Las Casas témoigne dans son ouvrage une véritable atrocité, celle qu'on pourrait surnommer d'indigne et d'inhumaine qui sont hors des clos de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Le fait de pouvoir utiliser un peuple pour parvenir aux besoins des Espagnol est une véritable soumission que les Indiens avaient du mal à intercepter et d'en plus par toutes les violences qui leurs sont accordées tels que « maux ; vols ; meurtres ; violences ; vexations » dans un but de ridiculiser le plus possible, les Indiens, afin de les avoir dans leur dynamique et même esprit de penser pour faciliter la transition de liberté à dépendant. [...]
[...] Ce ne sont pas un voir deux Indiens qui sont exécutés à chaque fois, mais entre « cinq et six cents » si ce n'est plus D'autant plus que les Espagnoles souhaitaient rendre les Indiens comme des « indigènes » et esclaves afin d'avoir des soumis qui travaillent pour eux gratuitement dans lequel toutes les violences seraient permises. L'auteur témoigne de violence digne d'une torture : coupage de mains, du nez, de la bouche, des oreilles et encore, une fois dépucelé de leurs membres, certains individus sont même donnés aux chiens cannibales qui les dévorent, une scène affreuse d'horreur et de violence, cela nous montre la faible pitié que pouvait avoir ces colonisateurs. Parallèlement on nous indique que les Chrétiens dévastaient tout sur leur passage, pillaient les réserves et détruisaient les récoltes : « [ . [...]
[...] ] ce qui suffit à trois familles de dix personnes chacune pour un mois, un chrétien le mange et le détruit en un jour ». L'exploitation des Indiens afin qu'il puisse extraire l'or au plus vite et qu'ils puissent s'enrichir afin de montrer que la richesse est un signe de supériorité et de pouvoir, ils en possédaient déjà avec le pillage des demeures des populations. Le geste étant le plus indigne est celui d'éradiquer leur présence sur leurs terres et de supprimer toute une culture et un peuple qui a pu mettre un long moment pour créer une intelligence et forger leurs caractères uniques. [...]
[...] Analyser le point de vue de Las Casas par rapport aux agissements et sur les « sauvages ». Son point de vue reste un élément important puisqu'il dénonce spontanément son désaccord face aux façons de traiter les Indiens qui sont malgré tous des humains et ne méritent pas un pareil traitement malgré les différences qu'il peut paraitre tels que la culture, l'intelligence, la sociabilité . On peut constater alors que la description que fait Las Casas sur tous ces actes cruels le touchent puisqu'avec la description presque instante par instant, on arrive à ressentir ce moment atroce et la violence à laquelle les Indiens étaient confrontées. [...]
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