L'augmentation du nombre d'animaux de compagnie

Résumé du document

Cela fait longtemps maintenant que je m'intéresse aux animaux de compagnie, et ce pour plusieurs raisons, la plus évidente étant à mes yeux que je baigne dans le milieu des animaux depuis ma plus tendre enfance. C'est donc pour cette raison que j'ai éprouvé l'envie de cerner les motivations poussant les gens à faire l'acquisition d'un animal de compagnie.

Au départ de tous ces éléments, je présenterai donc mon travail sous divers aspects, tout d'abord un aspect social traitant notamment des apports de l'animal dans notre société.
La suite se présente sous la forme d'un aspect législatif présentant les différentes lois en vigueur concernant les animaux de compagnie dans notre pays.

Afin de poursuivre ce travail, j'exposerai un aspect institutionnel présentant une institution choisie à l'occasion de la réalisation de ce travail.
Cet aspect sera suivi par un aspect psychologique, traitant des apports bénéfiques de l'animal entre autres dans les thérapies. L'aspect suivant traite du sanitaire et des bienfaits apportés par l'animal au niveau de notre santé. C'est donc avec beaucoup de plaisir que je vous invite sans plus attendre à parcourir ce travail (...)

Extraits

[...] Article 4 : Détention Toute personne qui détient un animal de compagnie ou qui a accepté de s'en occuper doit être responsable de sa santé et de son bien-être ; Toute personnes qui détient un animal de compagnie ou s'en occupe doit lui procurer des installations, des soins et de l'attention qui tiennent compte de ses besoins éthologiques, conformément à son espèce et à sa race, notamment : a. lui fournir en quantité suffisante, la nourriture et l'eau qui lui conviennent ; b. lui fournir des possibilités d'exercice adéquates ; c. prendre toutes les mesures raisonnables pour ne pas le laisser s'échapper Un animal ne doit pas être détenu en tant qu'animal de compagnie si ; a. [...]

[...] au cours de compétition ou ; b. à tout moment, si cela peut constituer un risque pour la santé et le bien-être de cet animal. Article 10 : pour cet article, la Belgique ne s'est pas engagée en ce qui concerne la coupe de la queue. Chapitre III Animaux errants Article 12 : lorsqu'une partie estime que le nombre des animaux errants constitue pour elle un problème, elle doit prendre les mesures législatives et/ou administratives nécessaires pour réduire ce nombre par des méthodes qui ne causent ne douleurs, ni souffrances, ni angoisses évitables. [...]

[...] La confiscation est toujours prononcée dans les cas visés à l'article 42, 1er, deuxième alinéa. Il en est de même en cas de combats ou de tirs d'animaux, pour les enjeux, le montant des droits d'entrée et les objets ou installations servant aux dits combats ou tirs. CHAPITRE XII. - Dispositions finales Art Le Roi peut déléguer au ministre qui a le bien-être des animaux dans ses attributions l'exercice de certains de ses pouvoirs qu'il détermine spécialement. Lorsque des mesures à prendre en exécution de la présente loi ne concernent pas exclusivement la protection et le bien-être des animaux, ces mesures sont proposées et exécutées conjointement par le ministre qui a le bien- être des animaux dans ses attributions et le Ministre compétent en la matière. [...]

[...] Pour toutes les agréations le Service Bien-être animal du Service Public Fédéral Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement, assisté ou non d'experts, ou l'Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire selon le cas, procède préalablement à une enquête aux frais des demandeurs. Le Service Bien-être animal du Service Public Fédéral Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement, assisté ou non d'experts, ou l'Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire selon le cas, procède à une enquête avant tout agrément. Les frais afférents à l'agrément sont à la charge des demandeurs à l'exception des refuges pour animaux. [...]

[...] Je pense qu'au vu du résultat de cette recherche, il est indéniable qu'un monde sans animaux de compagnie n'aurait pas le même visage. Notre société est confrontée à une montée de l'isolement et dans une certaine mesure, la présence d'un animal aide largement la personne qui le possède. Pour en avoir fait l'expérience, je sais pertinemment le réconfort apporté par un animal. Ce qui ne m'empêche nullement d'être d'avis qu'un animal doit rester à sa place, dans le cas contraire, nombre de problèmes peuvent survenir. [...]