Aussi, le sport est-il un danger pour le corps (Chapitre I), ou au contraire un moyen d'aller mieux (chapitre II) ?
Le sport est-il constitutif de souffrance corporelle ou est-il un outil véritablement capable de soulager la souffrance corporelle ? Quel est son véritable rôle pour le corps humain ? Si le sport constitue véritablement des risques pour le corps ; existe t –il des moyens de les éviter (Chapitre III) ?
Il convient dans un chapitre préliminaire d'analyser ce que représente véritablement la souffrance corporelle et à partir de quel moment est elle reconnue en tant que telle.
De plus, il est nécessaire d'émettre une distinction sur la nature, ainsi que sur la finalité de la pratique sportive. Toute activité ne comporte pas les mêmes risques et ceux-ci varient selon l'utilisation que l'on fait du sport...
[...] Ils sont assez fréquents, mais pas très graves. Nous décrivons les plus connus dans un ordre croissant de gravité. Les courbatures : elles sont dues à une surcharge du muscle en toxines (en particulier de l'acide lactique) lorsqu'il a trop travaillé. Les courbatures débutent vingt-quatre heures après l'effort et durent trois jours. Les contractures : plus graves, ce sont des contractions involontaires des muscles, dues à une réaction réflexe, à une élongation ou à un traumatisme articulaire. L'élongation : elle correspond à un dépassement des capacités élastiques du muscle, causant une distension de ses fibres. [...]
[...] Le sport et la souffrance corporelle Sommaire Introduction Chapitre préliminaire La souffrance corporelle Qu'est ce que la souffrance corporelle ? Le point de départ de la souffrance corporelle II) Les variantes du risque sportif Des APS plus ou moins dangereuses Les finalités de l'APS : un point déterminant du facteur risque Chapitre 1 : Le sport comme source de souffrance corporelle Les pathologies ou méfaits du sport Les accidents et problèmes fréquents Les accidents liés au dopage Les accidents d'une extrême gravité II) Les données statistiques Concernant les décès Concernant les risques en tout genre Conclusion intermédiaire Le concept de risques sportifs : un aspect à nuancer Chapitre 2 : Le sport comme moyen de palier à la souffrance corporelle Sport et rééducation Les objectifs du sport adapté Le choix de l'activité physique et sportive adaptée II) Sport et prise en charge thérapeutique Les bienfaits du sport sur une pathologie identifiée Les bienfaits du sport sur la souffrance à venir (sport à titre préventif) Chapitre 3 : Les moyens d'éviter ou de prévenir la souffrance corporelle causée par les Activités Physiques et Sportives Le travail du corps avant et après l'APS : une nécessité L'échauffement La récupération II) L'importance de l'encadrement sportif Le médecin : la visite médicale Le professeur de sport ou l'entraîneur : un guide en terme de prévention III) Une bonne hygiène de vie : une complémentarité Une alimentation équilibrée L'importance du sommeil Conclusion Bibliographie Introduction Les Activités Physiques et Sportives (A.P.S) occupent une place de plus en plus importante dans notre société. [...]
[...] Il apparaît nécessaire également que le sportif prenne conscience de ses faiblesses, perçoive les limites de son corps, et les admette. L'encadrement sportif joue un rôle important, mais seul le pratiquant ne connaît mieux que personne, quelles sont ses véritables possibilités ; d'où l'importance de s'auto évaluer. C'est pourquoi, il est important que le sportif connaisse ses antécédents, ses prédispositions, et qu'il n'aille pas au-delà de ses possibilités physiques. Bien que la compétition soit un enjeu considérable, est-il nécessaire que les pressions psychologiques et physiques que subit le sportif, consciemment ou non, mettent sa santé en péril ? [...]
[...] Le sportif fait ce qu'il veut (marcher, s'assoire, s'allonger ) et attend le retour à la fréquence cardiaque de repos. La récupération passive est une période privilégiée où le sportif mettra un maximum de muscles au repos. II) L'importance de l'encadrement sportif Le médecin : la visite médicale On l'appelle visite médicale d'aptitude à un sport donné mais sur le plan légal il s'agit plutôt d'une visite de médecine préventive qui débouche sur un «certificat de non-contre-indication à la pratique d'un sport. [...]
[...] Pourtant, les activités physiques et sportives se sont, dans un même temps, médicalisées et se sont faites psychomotrices, elles sont apparues comme un moyen de lever les cuirasses musculaires. Au surplus, le sport, par son exercice, est inclus dans les projets thérapeutiques, comme moyen reconnu de faire progresser l'individu. Aussi, le sport est-il un danger pour le corps (Chapitre ou au contraire un moyen d'aller mieux (chapitre II) ? Le sport est-il constitutif de souffrance corporelle ou est-il un outil véritablement capable de soulager la souffrance corporelle ? Quel est son véritable rôle pour le corps humain ? [...]
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