I) L'équilibre dans le milieu aquatique :
1) Les résistances à l'équilibre :
2) Equilibre et équilibration dans le milieu aquatique :
II) La propulsion dans le milieu aquatique :
1) Les théories de la propulsion :
2) Les facteurs de l'efficacité propulsive :
[...] Il se dit donc que le modèle explicatif de la propulsion ne peut pas être celui de la rame ou de la pagaie. Il va donc comparer la main du nageur à une aile d'avion. Il va s'appuyer sur le théorème de Bernoulli et la notion de portance pour expliquer comment un nageur peut se propulser en adoptant différentes orientations de la main dans l'eau. Au niveau de l'écoulement de l'eau sur la main, il se passe la même chose qu'au niveau de l'écoulement de l'air sur une aile d'avion. [...]
[...] Il faut donc que le nageur garde une continuité dans ses actions propulsives. Dans les nages alternées, la continuité des actions propulsives passe par un enchainement des 2 bras. Dans les nages simultanées, pour maintenir une action simultanée, il faut coordonner les bras avec les jambes pour éviter les trous moteur - Le rythme des retours : les phases de retour n'étant pas motrices, elles doivent donc être le + rapides possible. L'ensemble de ces facteurs peut être évalué à partir de 2 notions : l'amplitude et la fréquence. [...]
[...] On dénombre plusieurs sources de déséquilibre : - L'inspiration (dans les nages ventrales) : + on inspire, + on détruit la position hydrodynamique mais + on alimente les muscles en oxygène donc il va falloir trouver un nb d'inspirations optimal selon la distance de course. L'inspiration doit être la + courte possible. Après l'inspiration, il faut vite retrouver la position hydrodynamique. - La prise d'informations visuelles - La propulsion des bras : le nageur va chercher à se déséquilibrer volontairement pour trouver des appuis profonds, notamment en crawl ou en dos formes de déséquilibre : - Roulis : oscillation verticale de bas en haut sur l'axe longitudinal du corps. [...]
[...] La poussée d'Archimède correspond au poids du volume de liquide déplacé par le corps. Elle est orientée de bas en haut. La flottabilité (capacité à flotter) dépend de la densité du nageur mais aussi de la densité du nageur (ex : quand l'eau est salée, la densité du milieu augmente et donc on flotte mieux). La densité du corps correspond au rapport Poids/Volume. + le corps est dense, - on flotte. Pour diminuer sa densité, on peut augmenter le volume de son corps en inspirant. Pour flotter, il faut PA>Pe. [...]
[...] + cette surface est grande, + les résistances sont importantes. k : en fonction de leur forme, et pour un même maître couple, les corps rencontres des résistances La forme idéale qui permet de rencontrer le de résistances possible étant la goûte d'eau : il s'agira avant tout de rechercher un écoulement laminaire des molécules d'eau, une forme de corps permettant aux molécules d'eau de s'écouler de part et d'autre sans turbulences. v : les résistances dépendent du carré de la vitesse. [...]
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