Evolution des formes : au début, en combat, c'est de toucher l'adversaire sans être blessé soi-même. Les combattants étaient très chargés (plusieurs armes : encombrant). L'évolution est de mettre en une seule arme 2 caractéristiques : le sabre tranche et transperce. La pointe est plus meurtrière que le tranchant : création de l'épée (beaucoup de changements au cours des siècles). Quand l'épée est maniée toute seule (sans arme défensive), le combattant a une meilleure motricité. Puis, on a inventé une épée qui ait aussi une protection : l'estoc à coquille. A ce moment-là, le combat est devenu plus rapide, de profil et avec des fentes (vitesse et précision) (...)
[...] Les Romains : tuer. Moyen-âge : 5ème siècle au 51ème siècle : de tout temps, les maîtres d'escrime ont été des personnages considérés, appartenant à des castres hautes. Féodalité : 10ème au 15ème siècle : s'étriper, détruire l'autre pour avoir le butin. L'église a créé la chevalerie pour éviter le carnage (code du chevalier : obéissance, respect de la parole donnée, vaillance, générosité, protection des faibles, des biens et des gens de l'église, courtoisie envers les femmes). Création du tournoi : s'amuser à tuer l'autre (à désarmer) : jeu un peu codifié, qui se déroule pendant les fêtes mondaines. [...]
[...] La spécificité des techniques : les Japonais utilisent à l'époque féodale des techniques de combat de ju-jitsu (judo) ; de ken-jutsu (kendo) ; de kyu- jutsu (kyudo : tir à l'arc). En Europe : les duels sont interdits ; sécurité du pays par les chevaliers, l'armée, la police nationale : préférence pour l'utilisation des armes à feu que du combat à mains nues. Le référant culturel est la lutte, la boxe, l'escrime et le bâton. D'un point de vue de la suprématie collective, le Japon assure sa défense avec une pratique féodale alors que la France (l'Europe) déploie l'artillerie lourde pour conquérir des territoires : décalage. [...]
[...] Il n'y a jamais de combat avec cette arme. La dextérité du fleuret n'était pas complète car les masques n'existaient pas. Une multitude de coups est apparue avec l'invention du masque. Charles IX donne un statut aux maîtres d'armes. A ce moment-là, c'est la France qui diffuse sa méthode dans le monde. C'est l'époque de l'escrime esthétique. 19ème siècle : les militaires ouvrent des salles d'armes types de public : développer des qualités physiques, apprendre l'art de l'escrime ; apprendre à se battre en duel : création de l'école de Joinville : elle a formé les maîtres d'armes. [...]
[...] Les différentes armes : construction des armes en fonction des animaux. Il existe des armes offensives et défensives : 3 catégories d'armes offensives : les armes de choc (masse, casse-tête, fléau, hallebardes . ) les armes de jet (boomerang, javelot, arc, arbalète ) les armes de mains (les couteaux : lames tranchantes que d'un côté, les sabres : lames courbes, les épées Les armes de défense : bouclier, protections, armure, gants Evolution des formes : au début, en combat, c'est de toucher l'adversaire sans être blessé soi-même. [...]
[...] Code de la chevalerie : église, dieu, religion. Code du samouraï : code du Bushido, avec un code moral moderne : politesse, courage, honneur, sincérité, modestie, respect, contrôle de soi. [...]
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