- La notion de gestion de sa vie physique apparaît davantage comme une gestion des APS que comme une gestion de sa vie physique. L'EPS se présente comme une éducation du physique et non une éducation au physique.
- La prise en compte de l'objectif "gérer sa vie physique" semble s'effectuer à l'économie (...)
[...] Cette éducation doit-elle et peut elle faire l'objet d'une évaluation ? Les tensions non-stop et les rythmes de vie actuels poussent les individus à puiser en permanence dans leurs réserves, avec souvent pour seul résultat la fatigue au rendez vous. Il semble que chacun développe une façon personnelle pour (re)trouver sa vitalité, faire son plein d'énergie, se faire une santé. Pour certain, le secret de leur forme dépendra d'un dîner avec des amis, d'autres des séances de jogging, d'autres de méditation avec baladeur sur les oreilles . [...]
[...] L'EPS se présente comme une éducation du physique et non une éducation au physique. La prise en compte de l'objectif gérer sa vie physique semble s'effectuer à l'économie. - Analyse des relations entre le rapport aux APS et les conceptions de la santé, Perrin : Il existe un lien entre la manière d'investir les APS et la façon de percevoir sa santé. Ceux qui pratiquent une activité physique n'évoquent pas le faire pour des raisons de santé, mais plutôt pour le plaisir qu'ils en tirent. [...]
[...] L'age à un effet sur l'évolution de ces représentations. - Falguairette, Revue STAPS N°1989 : Un contexte favorable au développement du VO2 max nécessite trois à cinq séances hebdomadaires Compte tenu du fait que d'autres rôles tout aussi important incombent à l'EPS, il y a donc une contribution modeste de la discipline. Si il y a des élèves sportifs et des élèves non sportifs, les non sportifs se maintiennent pour les hommes et régresse pour les filles. - Bar : Deux heures d'EP supplémentaires pendant plusieurs semaines n'ont aucune influence sur l'augmentation de la Vo2 max Les Fiches de lecture 4. [...]
[...] On peut supposer qu'une forte estime entraîne une surestimation de la conduite physique et qu'en retour, une estimation positive de la conduite physique débouche sur un renforcement de l'estime de soi L'essentiel est peut être moins d'accueillir des savoirs spécifiques que la modification des attitudes vis-à- vis des APS, de leur corps et de leur santé - Fox et Corbin travaille sur le domaine physique qu'ils décomposent en 4 sous domaines : Estime de soi Valeur physique perçue Condition physique perçue compétence physique perçue Fonction physique perçue Apparence perçue - Cogérino Apprendre à gérer sa vie physique : Il fait remarquer que chez les enseignants d'EPS c'est surtout la dimension physiologique de la santé qui est affirmée. Les représentations de la santé sont multiples et contradictoires .Elles reposent sur des perceptions différentes du corps. - Claire Perrin, Revue la santé de l'homme Il fait remarquer en matière de santé que la dimension biologique des exercices en EPS demeure dominante dans les pratiques, mais les pratiques de relaxation ou autres approches non sportives commencent à trouver leur place dans une quête de mieux-être. [...]
[...] - Boltanski, les usages sociaux du corps Les ouvriers sont trois fois plus malades que les cadres, mais ils vont consulter trois fois moins les médecins. - Thiebault et Sprumont : L'obésité qui survient à l'adolescence le fait par hyperplasie (augmentation de cellules adipeuses). Cette augmentation est irréversible. Le métabolisme aérobie en utilisant des substrats énergétiques de natures différents est un phénomène à favoriser à l'adolescence. Chez les sédentaires, la VO2 max diminue de 10% tous les 10 ans. C'est entre 30 et 45 ans qu'elle est la plus importante. [...]
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