Haruki Murakami, écrivain japonais, coureur de fond, hygiène de vie, roman
Depuis plus de vingt-cinq ans, Haruki Murakami, écrivain japonais né en 1949, court. Il court dix kilomètres par jour, six jours par semaine, un marathon par an.
Cette passion est pour lui indissociable de son métier d'écrivain. En effet, cette passion lui est nécessaire à remplir ses pages blanches.
Le 1er avril 1978, pendant un match de base-ball, Murakami décide d'écrire un roman et pour cela, il va s'imposer une discipline stricte.
Il va arrêter sa vie nocturne liée à son club de jazz et arrêter les soixante cigarettes quotidiennes.
[...] Ses meilleures performances se situent autour de trois heures trente au marathon, un temps honorable. Son but n'est ni la compétition, ni la victoire. Il connaît ses capacités et a conscience des limites de sa progression. Effectivement, l'auteur n'espère plus progresser au moment où il écrit ces lignes, la cinquantaine passée. Selon l'auteur, le critère fondamental et la fierté du coureur de fond est celle d'être allé au bout de sa course. Autrement dit, pour Haruki Murakami, le sport apporte des valeurs, il est pédagogique. [...]
[...] Haruki Murakami Résumé du livre : Depuis plus de vingt-cinq ans, Haruki Murakami, écrivain japonais né en 1949, court. Il court dix kilomètres par jour, six jours par semaine, un marathon par an. Cette passion est pour lui indissociable de son métier d'écrivain. En effet, cette passion lui est nécessaire à remplir ses pages blanches. Le 1er avril 1978, pendant un match de base-ball, Murakami décide d'écrire un roman et pour cela, il va s'imposer une discipline stricte. Il va arrêter sa vie nocturne liée à son club de jazz et arrêter les soixante cigarettes quotidiennes. [...]
[...] Lorsque Murakami n'écrit pas, il court. Autoportrait de l'auteur en coureur de fond et le sport, miroir de notre société : Murakami est un coureur ordinaire, humble, comme les autres, qui écoute de la musique quand il s'entraîne. Il avoue être un coureur solitaire et l'assume Je suis le genre d'homme qui aime faire les choses [ ] tout seul. je suis le genre d'homme qui ne trouve pas pénible d'être seul. Il semble en outre, être un coureur minutieux, ne laissant rien au hasard du choix du short ou du maillot à la technique de laçage des chaussures. [...]
[...] La course de fond est pour lui une passion, une nécessité. Il court parfois 100 kilomètres en une journée et assouvit là une de ses passions. Courir pour lui est devenu une nécessité et les entraînements l'ont préparé à cette distance tout comme les marathoniens amateurs qui s'efforcent de venir chaque année à New York pour se prouver à eux-mêmes que la distance ne les effraie pas. L'auteur explique qu'il a mené une vie dissolue jusqu'à l'âge de 30 ans en fumant jusqu'à trois paquets de cigarettes par nuit avant de se lancer corps et âme dans la course de fond, lui permettant de mener une vie saine. [...]
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