« Les loisirs au Moyen Age » Jean Verdon
« Les sports et les exercices dans la France ancienne » J.J. Jusserand (1901) et le divertissement populaire.
Ce livre va concerner la présentation des jeux médiévaux pratiqués par les bourgeois et les aristocrates. Jusserand est l'un des premier à s'intéresser aux pratiques médiévales : c'est une passion européenne. La culture physique était très importante car le rythme de vie était dur donc les hommes avaient besoin d'être fort. Le mot le plus employé dans cet ouvrage est l'exercité (remuer, prendre de l'ébat, se desporter). Les exercices physiques se présentent comme des ébats. Il y a une idée de sociabilité, les homme set les femmes se rassemblent pour prendre des ébats. Il y a l'idée de se développer physiquement.
Le rapport au milieu physique est beaucoup plus important dans cette société du moyen Age par rapport à celle d'aujourd'hui. L'activité qui était beaucoup prisée à l'époque était la lutte. La pratique des bains en tant que divertissement était pratiqué par les aristocrates, mais il y avait aussi la chasse à cour et la chasse au faucon.
[...] En 1807, il applique ces conceptions des l'Institut Pestalozzien de Madrid, à la demande du roi CHARLES IV. Il introduit le rythme dans la gymnastique (introduction de la musique). Il devient le conseiller du roi Joseph-BONAPARTE, pendant la guerre d'Espagne. Il est pronapoléonien (pro Français). En 1813, à la suite de la défaite de Victoria et la débâcle napoléonienne, il doit quitter l'Espagne. Amoros en France En 1814, AMOROS s'installe en France et enseigne la gymnastique dans un gymnase de rue d'Orléans à Paris, puis l'escrime et le gymnastique à l'Institut Dourdon. [...]
[...] Des chevaliers vont rester laïque et d'autres vont se convertir au catholicisme. Les chevaliers se sont comportés de la pire des faons que se soit car ils étaient forts. Ce sont des hommes qui ont réussi à se libérer de l'emprise des seigneurs en se mettant au service de l'Eglise. L'Eglise avait peur de la puissance de ces chevaliers qui aurait pu venir tout faire basculer et ainsi l'Eglise a réussi à convaincre ces chevaliers d'être au service de l'Eglise. [...]
[...] On va avoir une définition des aptitudes. Notion d'une éducation corporelle réservée, en modération. Cette civilité va être écrite (traité d'éducation), à partir de ces manuels on va créer des manuels d'éducation corporelle pour l'usage des enfants : Ne pas baisser la tête. Ne pas hausser les épaules. Rectitude corporelle associée à la morale. Education corporelle qui s'attache beaucoup à l'apparence. ( Prélude de typologie corporelle avec cette civilité. Cette civilité est associée à la bonne manière de faire, les apparences prennent le pas. [...]
[...] Elle est située d'abord en plein air, Turnplatz. Le maître s'appelle le Turnnlehrer. Tous les élèves portent un écusson : 9 : victoire des Germains sur les Romains : introduction de la chevalerie en Allemagne : mort de Maxilien Ier dernier chevalier teutonique : Turnkunst. et un insigne : Les 4F rappellent une devise Frisch (disponibilité), Frei (libre), Frohlich (joyeux) et Fromm (pieux). Tous les gymnastes s'expriment en Allemand. Le tutoiement est obligatoire et les professeurs ne sont jamais remis en cause. [...]
[...] C'est le fils d'un pasteur, né à Lanz. Il est élevé dans milieu religieux protestant. Ce fut quelqu'un de turbulent. Il suit des études universitaires en théologie. Sensible à la Révolution Française, il essaye de retrouver une culture d'origine. L'Allemand est un moyen de véhiculer cette culture. A cette il y ajoute certains principes de J.LOCK. Il est sensible à l'empirisme allemand, aux idées de ROUSSEAU, aux philanthropiniens, qui, plutôt, avaient fondé le collège, le Philanthropinium. En 1803, JAHN voyage en Allemagne et en Prusse. [...]
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