Si depuis quelques années l'échec fait partie de la scolarité, il tient une grande place dans l'activité sportive, et ce depuis toujours, puisque toute pratique sportive est d'abord confrontation à l'échec.
Tout pratiquant a connu ou connaîtra l'échec, parce que la loi d'airain qui régit toutes compétitions exige qu'il n'y ait qu'un seul est unique vainqueur. Etre premier ex-aequo est déjà un demi-échec.
L'EPS qui parfois tire certains de ses objectifs du sport, et qui a même été comparé à lui à certains moments de l'histoire, est donc elle aussi soumise à l'échec, mais scolaire celui-là.
[...] En effet, ils avaient compris que seul un tour d'horizon général des connaissances, qu'ils nommaient «enkuklios païdera», permettait une éducation globale du jeune héllène. Pour Bacon, l'éducation devait être aussi collective et complémentaire. Comenuis la définissait comme une pansophie, c'est-à-dire une science universelle regroupant toutes les disciplines. L'interdisciplinarité (Lexique à l'intérieur de chaque science, permet de susciter une nouvelle forme de connaissance pour former des individus nouveaux, capables de s'adapter à l'environnement. Cette technique permet à plusieurs disciplines de coopérer pour aboutir à la résolution d'un projet commun. [...]
[...] Après le déterminisme biologique de l'échec scolaire, vient s'ajouter le déterminisme social. Les enfants issus des classes sociales défavorisées sont plus en situation d'échec que les autres. Cette théorie du capital culturel trouve d'ailleurs son couronnement dans l'ouvrage de Bourdieu et Passeron (Biblio dans lequel ils 2/14 montrent que l'ascenseur social qui avait fait la gloire de la IIIème République n'était qu'un leurre, car l'école ne fait que reproduire les inégalités sociales. Baudelot et Establet confirment d'ailleurs ces analyses avec leur théorie des deux réseaux scolaires à l'aide d'une étude de contenu des manuels scolaires du primaire A partir des années 1980, on assiste au développement de l'approche didactique, basée sur la nécessaire adaptation aux âges et aux niveaux scolaires, qui transforme le savoir savant en savoir enseigné. [...]
[...] Montagner (Biblio sur les rythmes de l'enfant. Plus de 700 écoles ont adopté une conception différente de la journée scolaire en accord avec les rythmes de vie des enfants, comme par exemple des horaires différents (9h30-11h30 et 15h00-17h00). D'autres multiplient les expériences sur le terrain en jouant sur l'attrait de la motivation, sur le concret plutôt que sur l'abstrait, ou mettent en place un soutien méthodologique pour aider les élèves à apprendre. Pour A. de la Garanderie, tous les élèves sont intelligents, mais tous ne fonctionnent pas de la même manière. [...]
[...] ECHEC SCOLAIRE ET EPS 1. INTRODUCTION Si depuis quelques années l'échec fait partie de la scolarité, il tient une grande place dans l'activité sportive, et ce depuis toujours, puisque toute pratique sportive est d'abord confrontation à l'échec. Tout pratiquant a connu ou connaîtra l'échec, parce que la loi d'airain qui régit toutes compétitions exige qu'il n'y ait qu'un seul est unique vainqueur. Etre premier ex-aequo est déjà un demi-échec. L'EPS qui parfois tire certains de ses objectifs du sport, et qui a même été comparé à lui à certains moments de l'histoire, est donc elle aussi soumise à l'échec, mais scolaire celui-là. [...]
[...] D'autres, jouent sur la structure de la tâche. Ce qui semble caractériser tous ces moyens, c'est en fait une proposition de tous d'une pédagogie de la réussite qui redonne confiance à l'enfant. Mais comme tous les enfants sont différents, les enseignants sont donc tenus de proposer des tâches variées et différentes, adaptées au profil de chacun de leurs élèves (Biblio 13) insiste sur le fait que la flexibilité (Lexique du comportement de l'élève serait le premier moyen de lutte contre l'échec scolaire). [...]
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