L'homme tire l'énergie des aliments qu'il consomme.
- l'apport est discontinu
- l'utilisation est continue
Cela induit donc un système de réserve et un système de régulation --> il doit y avoir 2 «compartiments».
- Le compartiment circulant (sang) qui permet à l'apport énergétique d'être permanent.
- Les réserves qui permettent l'échange des substrats avec le compartiment circulant.
Ceci induit un rôle très important des hormones qui permettent la régulation des réserves des différents substrats.
[...] La proportion relative de sucres et de graisses relative à la fourniture d'énergie varie avec l'intensité de la VO2 max pendant 1h : 80% de lipides et 20% de glucides. Même si la part des glucides lors d'un exercice prolongé est faible, elle n'est jamais nulle. L'apport d'énergie par les lipides à l'exercice atteindra sa part optimale à partir de 20' à 30' d'exercice. Ce délai varie avec le niveau d'entraînement : plus le sujet est entraîné, plus le temps est raccourcis. [...]
[...] Paradoxe : augmentation simultanée d'une baisse de l'insuline et de l'augmentation de la consommation de glucose par les muscles facteurs : o Phénomène en partie lié à une augmentation de la sensibilité à l'insuline des cellules plus élevé. o Les contractions musculaires stimuleraient la pénétration musculaire du glucose indépendamment de l'action de l'insuline .3) Effet de l'entraînement physique. Chez l'homme sain, l'entraînement physique augmente la sensibilité à l'insuline et l'utilisation du glucose au repos. o L'entraînement augmente la sensibilité à l'insuline quel que soit l'âge des sujets. o L'entraînement en endurance est plus efficace que la force. [...]
[...] o Il inhibe la glycogénèse : le glucagon active la glycogène synthase kinase qui va transformer la glycogène synthase active en inactive ; o Il stimule et favorise la néoglucogenèse grâce à son action stimulante sur la PEPCK ) Autres hormones (non synthétisées par le pancréas) 1.3 .1) Cortisol Cela n'agit qu'au niveau du foie mais pas des cellules musculaires. Même type d'action que l'insuline c'est-à-dire favorise la glycogénèse et inhibe la glycogénolyse .2) Adrénaline c'est-à-dire les catécholamines. Elle agit au niveau du foie et des muscles. Son action se situe sur la glycogénèse synthase kinase Inhibe la glycogénèse . la protéine kinase C Favorise la glycogénolyse . Et la pyruvate kinase. Inhibe la glycolyse. [...]
[...] Ne favorise pas l'utilisation du glucose. Action des hormones pancréatiques au niveau du métabolisme lipidique. IL EXISTE 2 PROCESSUS : La lipolyse : dégradation des graisses. La lipogenèse : stockage des graisses. Il existe 2 lipases : o LHS ou lipase hormono sensible. Elle agit au niveau des adipocytes (cellules graisseuses) o LPL ou lipoprotéine lipase. Elle agit sur les lipoprotéines circulantes ) La lipolyse. Catalysée dans les adipocytes par la lipase hormono sensible qui réalise la réaction : TG (triglycérides) ( 3 acides gras + glycérol. [...]
[...] Effets : o Accélère la glycogénolyse o Favorise la néoglucogenèse qui peu donc avoir lieu dans les muscles à partir : D'acide lactique D'acides aminés De glycérol. Le foie déverse du glucose dans le sang augmentant la glycémie. b. Insuline C'est un agent hyperglycémiant (opposé du glucagon) qui régularise le taux de glucose sanguin en le réduisant si nécessaire. Effets : o Accélère le transport du glucose sanguin aux cellules. o Accélère la glycogénèse. o Accélère l'entrée des acides aminés dans les cellules. o Accélère la lipogenèse o Diminue la glycolyse o Ralentie la néoglucogenèse ) Action de l'insuline. [...]
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