Cette séance a été mise en place dans une classe de cycle II comprenant vingt trois élèves dont sept élèves de CP et seize élèves de CE1. Celle-ci met en jeu une des compétences spécifiques que doivent acquérir les élèves en fin de cycle II. En effet, cette séance met en jeu la compétence trois qui est « s'opposer individuellement ou collectivement » et qui comprend la rencontre de l'adversaire et la coopération pour s'opposer collectivement. Pour cette séance, j'ai proposé aux élèves deux « jeux » différents. Le premier est appelé Chats, poules, poussins et le second est appelé Moutons siamois (...)
[...] En effet, certains élèves ont triché. Malgré le fait qu'ils aient été immobilisés, ils ont continué à se déplacer. Pour remédier à ce problème récurrent, l'arbitre veillait au bon respect des règles du jeu. De plus, la plupart des élèves jouant le rôle des moutons ne se sont pas préoccupés de libérer les autres moutons immobilisés. Pour remédier à cette difficulté, je leur ai répétés que le fait de libérer les moutons était aussi important que d'éviter de se faire attraper voire plus. [...]
[...] Description du contexte de la séance Cette séance a été mise en place dans une classe de cycle II comprenant vingt trois élèves dont sept élèves de CP et seize élèves de CE1. Celle-ci met en jeu une des compétences spécifiques que doivent acquérir les élèves en fin de cycle II. En effet, cette séance met en jeu la compétence trois qui est s'opposer individuellement ou collectivement et qui comprend la rencontre de l'adversaire et la coopération pour s'opposer collectivement. Pour cette séance, j'ai proposé aux élèves deux jeux différents. Le premier est appelé Chats, poules, poussins et le second est appelé Moutons siamois. [...]
[...] Lors d'une autre manche, deux élèves jouent le rôle d'attaquants. Ceux-là restent deux fois de suite dans ce rôle. La première fois, ils se sont dirigés tous les deux vers le camp des poussins et ont essayé d'en attraper un maximum. Ils ne semblent pas avoir développé de véritables stratégies de coopération. La deuxième fois, ils semblent avoir développé une stratégie de coopération. En effet, chacun de ces attaquants se dirige cette fois-ci vers un camp différent pour éviter aux poules et aux poussins de se rejoindre. [...]
[...] Si des moutons siamois sont touchés, ils se font face et se tiennent les mains pour former un pont. Un autre couple de moutons siamois doit passer sous ce pont pour pouvoir libérer ces moutons immobilisés. Nous attendons des défenseurs qu'ils coopèrent de manière à ce qu'ils ne se fassent pas toucher par l'attaquant. De même, nous attendons d'eux qu'ils se viennent en aide lorsque certains d'entre eux ont été immobilisés par l'attaquant. On attend des attaquants qu'ils mettent en place des stratégies leur permettant d'immobiliser un maximum d'élèves défenseurs, notamment des stratégies de déplacement. [...]
[...] Il ne tente pas d'éviter l'attaquant puisqu'il sait qu'il ne peut pas se faire attraper par celui-ci. Il parvient à rejoindre un poussin. Dans cette activité, j'ai rencontré quelques problèmes. En effet, dès le début du jeu, un des élèves jouant le rôle du poussin s'est mis à pleurer et à crier. Celui-ci ne voulait pas avoir à coopérer avec d'autres élèves et a fait une petite crise d'angoisse. Je l'ai alors fait s'asseoir sur un banc à côté de moi, l'ai calmé et rassuré. [...]
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