Pierre De Coubertin un aristocrate français (né en 1863 sous Napoléon) fils d'une famille noble de Paris fréquente le collège parisien puis Saint Sire.
Vers 1870 à la fin du second empire (annexion de l'Alsace et de la Moselle par la Prusse) les Français ont l'esprit revanchard mais Coubertin lui ne l'est pas il est adepte de l'internationalisme, il est pacifiste, et il n'est pas monarchiste malgré son titre de baron (...)
[...] L'idée d'olympisme COUBERTIN perçoit dès le départ des valeurs éducatives dans le sport. Il invente le mot d'olympisme. C'est l'orientation dans la pratique sportive qui promeut les valeurs éducatives. En 1918, 1ère définition de l'olympisme par Coubertin : c'est à nos yeux la conception d'une forte culture musculaire, appuyé d'une part par l'esprit chevaleresque (le fair-play) et d'autre part sur la notion esthétique du culte de ce qui est beau et gracieux. En 1927 à Olympie : l'olympisme peut constituer une école de Noblesse et de pureté morale autant que d'endurance et d'énergie physique. [...]
[...] L'athlète olympique n'existe pas, il n'y a que des sportifs de haut niveau. Ce qui compte aujourd'hui, ce sont les médailles et ceux qui les remportent. La victoire humaniste du départ qui guidait P. de COUBERTIN n'existe plus car l'athlète olympique n'existe plus. D'où provient cette perte des valeurs initiales ? Pourquoi cette dérive ? La règle une garantie insuffisante Règle : les JO sont des compétitions entre individus et non entre pays. Au départ, COUBERTIN voulait bannir toutes les compétitions collectives : mais impossible, le reste du CIO était contre. [...]
[...] Donc la communauté internationale condamne cette ingérence. Donc un moyen de faire pression : boycotter les Jeux car les Jeux sont l'occasion pour un pays de montrer sa puissance, (Canada, Japon, Allemagne, Chine .boycottent), sa façon d'organiser . C'est une façon pour ces pays de dire NON et condamner l'URSS. Le CNO américain : USOC est indépendant et pourtant avec la pression de Jimmy CARTER, ils décident de ne pas y aller. En France, on décide d'y aller : du coup, on a eu beaucoup de médailles. [...]
[...] II) Problématique : Le plaisir inhérent à la pratique sportive est-il la seule origine de l'engagement sportif ? Selon les définitions précédentes le sport (dans sa fonction endogène) trouve son origine au milieu du XIXéme siècle dans les niveaux sociaux aisé de l'aristocratie anglaise. (Le paysan se demandait pourquoi le lord anglais ne courait ni pour fuir ni pour rattraper quelqu'un.) Coubertin tout en revendiquent l'aspect ludique et hédonique du sport il y percevait un puissent levier d'éducation, mais les valeurs morale et pédagogiques qu'il croyait promouvoir par la pratique sportive sont-elles toujours présentes dans le sport moderne ou se sont-elles diluées au cours du XXéme siècle sous la double influence des champs politique et économique ? [...]
[...] Les jeux coûtent cher : il faut engager beaucoup de frais : infrastructures sportives, routières, hôtelières (pour accueillir) ; b. A l'origine, les Jeux avaient lieu à l'occasion d'expositions universelles : c'est l'occasion pour un pays de démontrer son hégémonie sur le plan des sciences, de la technique On va montrer aux autres nations son savoir et le vendre (ex : Tour Eiffel). Les JO étaient un peu noyés dans tout le programme de ces expositions. COUBERTIN désir fortement s'affranchir de cette tutelle et que les JO existent par eux-mêmes. [...]
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