La force maximale volontaire correspond à la force max que l'on peut développer en contraction isométrique.
Il y a une spécificité du gain de force en fonction de l'angle auquel on travaille. Cela implique donc que notre entrainement doit être en fonction de la position utilisée en compétition. L'entrainement à un angle donné va entraîner une hypertrophie de l'un des muscles du groupe ce qui modifie l'allure de la relation couple-angle globale. Il faut tenir compte de la spécificité de la discipline. Mais il faut quand même faire attention a bien travailler à toutes les plages angulaires car cela permet de ne pas perdre en souplesse, et surtout cela permet de développer une force maximale sur une plus grande amplitude.
Exemple : Pour un sprinteur, il sera plus profitable de faire des demi squats plutôt que des squats complets car sa flexion de genoux lors de l'activité est plutôt faible (...)
[...] Plus la proportion de MHC IIb est élevée et plus la vitesse max de raccourcissement est importante. o La composition des protéines contractiles en chaînes légères de myosine : Plus la proportion de MLC 3f et 2f est importante, plus la vitesse de raccourcissement est élevée. Les deux derniers points sont des impacts potentiels de l'entraînement. Même avec une typologie majoritairement de type on peut avoir des fibres extrêmement rapides (dernier 400 m d'un fondeur ou demi-fondeur). Pour les sprinters qui ont de mauvaises récupérations (incomplètes), les fibres II se transforment en IIa voir en I. [...]
[...] seul Réduction de la dégradation protéique > entraî. seul De plus, la prise d'acides aminés potentialise cet effet Pour une prise de masse musculaire, il faut manger des a.a. ajoutés à du glucose après et pendant l'entrainement. Cela donne une balance énergétique positive. On trouve dans l'organisme des cellules qui au début ne sont pas utiles, ce sont les cellules satellites. L'IGF provoque la maturation des cellules satellites, elles commencent à avoir des myofibrilles et vont céder leurs myofibrilles aux cellules existantes. [...]
[...] Voyons maintenant l'optimisation de l'hypertrophie musculaire L'hypertrophie résulte d'une augmentation de la masse protéique musculaire. Cette élévation est le rapport entre la synthèse protéique et la dégradation protéique (=concept de la balance énergétique positive). Les protéines vont se casser en acides aminés, qui vont être ensuite de nouveaux synthétisés. Cela veut dire qu'il va falloir apporté suffisamment d'a.a. aux muscles. On peut faire cela par l'alimentation (viande, fromage par des séances de renforcement musculaires ajoutés a des ingestions d'hydrate de carbone et d'a.a. [...]
[...] Si on travaille a des charges légères d'un RM) a vitesse maximale ajouté a des séries de trois répétitions de charges lourdes ajouté a de la Pliométrie, on tend alors vers l'augmentation de la vitesse de raccourcissement. Expérience : Après trois mois d'entrainement le pourcentage de MHC IIb augmente. Après entrainement, le pourcentage de MHC IIa augmente mais pas celui des MHC IIb. Avant l'entrainement, on avait un pourcentage de MHC IIb supérieur à après l'entrainement. En fait, après 3 mois de désentrainement l'athlète a augmenté en vélocité mais sa Fmax va chuter. [...]
[...] Développement de la force maximale volontaire La force maximale volontaire correspond à la force max que l'on peut développer en contraction isométrique. Il y a une spécificité du gain de force en fonction de l'angle auquel on travaille. Cela implique donc que notre entrainement doit être en fonction de la position utilisée en compétition. L'entrainement à un angle donné va entraîner une hypertrophie de l'un des muscles du groupe ce qui modifie l'allure de la relation couple-angle globale. Il faut tenir compte de la spécificité de la discipline. [...]
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