A travers les siècles on note une certaine évolution du matériel, des structures, des performances mais également du règlement.
L'escalade est né en 1492 par l'ascension du mont Aiguille, dans le Dauphiné par Antoine De Ville. Cette expérience est considérée comme une première car ce sommet difficile d'accès est atteint sans nécessité vitale : "Just for fun". On dit que Antoine De Ville est le premier conquérant de l'inutile.
En 1760, un physicien naturaliste suisse, P. de Saussure s'intéresse dans le cadre de ses recherches, à la pression atmosphérique, à la propagation du son en altitude et à la température d'ébullition de l'eau. Ce savant offre une prime à celui qui le conduira au sommet du Mont-Blanc pour vérifier ses théories. C'est donc en 1786 que deux français Balmat et Paccard réussissent à vaincre le sommet avec lui.
A partir de ce moment, les Alpes deviennent un terrain réservé à la science. Chaque expédition dans les Alpes à une caution scientifique, par la suite. Puis arrive vers la fin du 18 ème et 19 ème siècle, la conquête des principaux sommets des Alpes. Cela commence donc par l'ascension du Mont-Blanc en 1786, puis les autres sommets des Alpes. C'est donc naturellement que se créer le Club Alpin Français (1857) (...)
[...] L'équilibre instable: Lorsque la projection du centre de masse est dans la limite du polygone de sensation. L'équilibre statique ; Conserver son équilibre en restant immobile. L'équilibre dynamique : Conserver son équilibre en argent ou en se déplaçant. Pour qu'il y équilibre, il faut que la somme des forces appliquées sur le corps s'annulent. Equilibre: 70% du temps en équilibre statique à observer. Force de réaction: Même intensité, même direction, sens opposé. Les mouvements dynamiques sont importants car ils permettent de s'alléger artificiellement. [...]
[...] La sécurité est assurée par des tapis réglementaires. Chaque passage comporte une position de départ obligatoire soit pour les deux mains soit pour les deux pieds ou bien encore pour les deux mains et les deux pieds. Une prise dite bonus (prise de zone), marquée de couleur orange, est positionnée dans chaque passage. Cette prise n'est pas une condition obligatoire pour réussir le passage. Elle est positionnée par l'ouvreur à son choix. La prise de sortie est de couleur bleue et devra être tenue des deux mains. [...]
[...] Après que le professeur ait vérifié que nous savions effectuer toutes ces manœuvres nous avons effectué l'exercice du Château fort Le premier grimpeur monte à la première plaquette, place la dégaine puis redescend; le second grimpeur monte jusqu'à la dégaine, la récupère et la place au deuxième ancrage. Chaque grimpeur fait ensuite progresser la dégaine de deux ancrages. Cela nous a alors permis d'utiliser le vocabulaire approprier à l'escalade, mais surtout de nous mettre au fur et à mesure dans une situation de plus en plus élevée afin de prendre confiance en soi. 2ème Séance (02/10/08): Au début de cette séance nous avons fait un petit échauffement des membres inférieurs, du bassin et des membres supérieurs, plus particulièrement des mains et poignets. [...]
[...] Ce donner les moyens matériel de réussir S'INFORMER ET DECIDER Ressources cognitives et bio-informationnelles: Informations écrites (cote de la fois et prises de note), et orals (explication, téléguidage) Informations visuelles (indices : trace de magnésie, piton, etc.). Informations tactiles (orientation, taille, adhérence des prises, etc.). Information kinesthésique (ex : jambe déjà tendu : on ne pourras prendre une prise plus loin. Ou le bras chauffe, présence d'acide lactique on ne tiendra pas longtemps il faut changer de position). Trois capacités d'organisation pour traiter l'information : Perceptive : Indentification des indices. Décisionnel : Traitement de l'information. Effective : Exécution du modèle choisit. [...]
[...] Elles doivent répondre aux normes U.I.A.A (Union Internationale des Associations d'Alpinisme) Leur capacité d'absorption des chocs : Les cordes dynamiques : elles sont élastiques (pour amortir les chocs) et servent pour l'escalade et pour l'alpinisme. Les cordes semi-statiques: elles sont peu élastiques, résistantes à l'usure et sont utilisées en spéléologie, canyon, et sont des cordes fixes. Les cordes statiques: elles ne sont pas du tout élastiques et sont utilisées pour les amarrages. Elles sont de faibles diamètres et ont une grande résistance LA FORCE CHOC. [...]
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